1. Aventure d'été (2 et fin)


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fh, fplusag, groscul, poilu(e)s, Auteur: Bodding, Source: Revebebe

    ... neuf, dirait-on…
    
    De la main elle commença à me palper doucement tout au long de la hampe, remontant vers le gland bien décapuchonné. C’était subtil comme caresse et j’ai dû me retenir pour ne pas immédiatement lui lancer toute ma semence…
    
    Toujours amusée, elle me dit :
    
    — Alors… quand vas-tu me déshabiller ?
    
    Gros problème pour moi… C’était la première fois qu’une femme me demandait cela. Mes copines, elles, se déculottaient elles-mêmes, tandis que l’amie de ma tante m’avait rejoint, déjà nue, sous la douche.
    
    Allons-y !!!
    
    J’avais quasiment oublié mes appréhensions, et je me rendais compte que je désirais cette femme et que j’avais vraiment envie de l’avoir nue sous moi.
    
    Sa bouche m’attirait, et cette fois-ci elle n’a évidemment pas refusé mon baiser. Femme d’expérience, elle me laissait fouiller sa bouche de ma langue, se contentant de petits mouvements de la sienne pour me titiller.
    
    On était loin des grosses baveuses de mes copines.
    
    Elle me laissait tourner et retourner, arrêtant quelquefois le mouvement pour me sucer et aspirer avec délectation mon bout de langue.
    
    D’une main maladroite, je m’étais mis à défaire les boutons de son chemisier ; constatant mes difficultés, Almincira me dit :
    
    — Attends, laisse-moi faire car je ne voudrais pas rentrer chez moi avec un chemisier chiffonné.
    
    Elle a rapidement retiré son chemisier et l’a posé avec précaution sur le dossier d’un siège. Elle était maintenant en soutien-gorge noir en dentelle, avec ...
    ... une petite armature.
    
    Là j’étais plus habile et, profitant d’un nouveau long baiser profond, j’ai détaché l’agrafe du soutien et libéré ses seins.
    
    Ma compagne avait la peau douce, mate et ambrée des méditerranéennes, très agréable au toucher.
    
    Sa poitrine libérée de son soutien descendait quelque peu sous le poids des ans, mais cela restait vraiment sensationnel pour le débutant que j’étais. Tout en restant soudé à sa bouche, je me suis mis à caresser ses seins, m’attardant aux tétons foncés, très volumineux au milieu d’une aréole largement dimensionnée.
    
    Almencira ronronnait à mon oreille comme une chatte, apparemment satisfaite de mes caresses…
    
    J’ai vite fait un sort à sa large ceinture et ouvert son jean’s blanc qui est tombé à ses pieds. Elle l’a enjambé et est revenue se coller à moi.
    
    Je voulais la voir nue et l’ai écartée de moi à bout de bras… Elle n’avait plus qu’un slip noir assorti à son soutien-gorge.
    
    Elle a fait descendre complètement mon caleçon encore bloqué à mes hanches tandis que je faisais descendre son slip….
    
    Et là… quelle surprise ! Son bas-ventre était recouvert d’une toison noire épaisse et abondante remontant en une fine torsade presque jusqu’à son nombril. Sous mes doigts, c’était doux, soyeux et… humide.
    
    Constatant ma surprise, ma compagne me dit :
    
    — Oui, je ne suis pas une « miss trois poils » comme les petites Européennes… Chez moi il y a moyen de s’y perdre !!
    
    Nous étions maintenant nus tous deux à nous examiner et à ...