1. Le camp de migrants


    Datte: 01/02/2021, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: johnpersons94, Source: xHamster

    ... adepte. Avec mon mari, nous l'avions fait seulement une fois, il y a des années de cela, et aucun autre de mes amants précédents n'avait eu ce privilège. Mais ça, c'était avant. Rapidement, mon cul se mit à s'élargir sous les coups de boutoirs de mes amants noirs. Ma rondelle fut vite réduite à l'état de tunnel béant, dégoulinant de la semence abondante dont les migrants me faisaient l'offrande. A chaque nouvelle éjaculation dans mes entrailles je me sentais encore un peu plus chienne. Une fois la dernière paire de couilles vidées, certaines ayant fait plusieurs fois le tour, Ibrahim me fit me pencher en avant, empoignat mes fesses et écarta mes lobes pour bien exhiber mes orifices béants à tous les participants. Il accompagnait son geste d'insultes et de remarques très humiliantes qui rendirent ma chatte luisante de cyprine. Le sperme coulait encore à flot de mon anus défoncé.
    
    Il me fit alors mettre à genoux, me lança 2 belles gifles et m'envoya un gros crachat bien gras en plein milieu du visage. Puis, il me demanda d'ouvrir grand la bouche, approcha son sexe de mes lèvres et pissa directement dans ma gorge. J'eu le réflexe de fermer la bouche et de tourner la tête, ce qui me valut une nouvelle paire de claque et un coup de pied dans le ventre. Il m'aspergeat le visage, les cheveux et la poitrine d'urine, puis me dit de réouvrir la bouche et d'avaler le reste de sa pisse. J'obéissait à présent comme une bonne pute soumise et but ...
    ... l'intégralité du chaud liquide jaune sortant de la bite d'Ibrahim. Mamoudou lui succéda pour m'offrir son urine, suivi ensuite de l'ensemble du camp. Ils pissèrent partout sur moi, y compris dans ma chatte et dans mon cul. Ma petite robe, que je n'avait pas quitté mais qui avait été retroussée par le bas et par le haut autour de ma taille, était à présent trempée et puait la pisse âcre.
    
    Ibrahim m'ordonna alors sèchement de me casser en leur laissant l'argent liquide dans mon portefeuille. J'aurais normalement dû être soulagée d'enfin pouvoir partir, mais j'étais devenue définitivement leur esclave. Je demandait à Ibrahim de pouvoir revenir le lendemain. Il me forçat à me mettre à genoux et à le supplier de pouvoir revenir me faire baiser comme une chienne. Je m'exécutais, sous les rires et les insultes de tout le camp. Ibrahim me dit qu'il acceptait à une condition. Je lui dit que je ferais tout ce qu'il exigera de moi. La condition était simple. Je devais revenir au camp avec ma fille, pour qu'ils puissent utiliser ses jeunes trous sans retenue et nous baiser côte à côte. Je suppliais Ibrahim de ne pas me demander cela. Tout mais pas ça. Mais il était inflexible. Je cédais finalement, le désir de pouvoir à nouveau goûter à toutes ses grosses queues noires et être la chienne soumise de ces migrants étant trop forte. Je promis de revenir le plus vite possible et m'en allait, dans ma robe trempée de pisse, par le chemin par lequel j'étais venue. 
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