Le camp de migrants
Datte: 01/02/2021,
Catégories:
Sexe Interracial
Hardcore,
Partouze / Groupe
Auteur: johnpersons94, Source: xHamster
Voici une aventure arrivée il y a peu à mon amie Brigitte et qu'elle m'a demandé de mettre sur le site.
Je m'appelle Brigitte, je suis une blonde plantureuse, la cinquantaine pimpante. Je suis mariée et maman d'une jeune fille de 20 ans. Jusqu'à il y a peu, je menais une vie tranquille. Mais récemment, une aventure a bouleversé ma vie et je souhaite vous la faire partager.
Tout à commencé au début de cet été. Mon mari étant parti pour un déplacement professionnel, et ma fille étant en vacances avec son petit ami, je me retrouvais seule à la maison pour une semaine. Je décidais donc d'en profiter pour aller rendre visite à ma soeur qui habite à une centaine de kilomètres de chez moi, en pleine campagne. J'y serais mieux qu'en ville, surtout avec la canicule qui régnait depuis quelques jours et qui rendait l'atmosphère étouffante. Après lui avoir téléphoné pour l'avertir de mon arrivée, je pris la voiture et me mis en route. Il faisait beau et je décidais de prendre les petites routes pour profiter du paysage. Avec cette chaleur, je m'étais habillée avec une petite robe d'été fleurie et une paire de sandales compensées. Alors que j'abordais une côte assez raide, de la fumée blanche se mit à jaillir du capot de la voiture. Je me garais immédiatement sur le bas côté, un peu paniquée. Je n'y connais absolument rien en mécanique et je me trouvais alors en rase campagne, loin de tout. Heureusement que la technologie moderne allait être là pour voler à mon secours. Je me ...
... saisis de mon sac à main posé sur le siège passager, à la recherche de mon téléphone portable pour appeler un dépanneur. C'est alors que je m'aperçu que j'avais oublié de recharger ce maudit téléphone et que celui-ci était aussi inerte qu'une pierre. J'étais dans de beau draps. Le dernier village que j'avais traversé devait être à au moins 10 kilomètres, et je n'avais pas croisé d'habitations en route. Je décidais, en désespoir de cause, d'abandonner ma voiture et de continuer la route à pied pour trouver un endroit où téléphoner. J'avais parcouru une centaine de mètres quand j'entendis du bruit parvenant d'un petit bois sur le bord de la route. Deux jeunes hommes noirs sortirent alors des fourrés et se postèrent devant moi, me flanquant la frousse de ma vie. Mais je compris vite, à leur large sourire, qu'ils n'étaient pas dangereux ou aggressifs. Un des deux jeunes s'adressa alors à moi dans un mauvais français, pour me demander si j'avais un problème. Je lui expliquai ma situation et il me proposa de m'aider en m'emmenant dans une maison proche où je pourrai téléphoner et recharger mon portable. Les deux jeunes étant très sympathiques, et vue ma situation, je décidai de les suivre. Celui qui parlait français m'apprit qu'il s'appelait Ibrahim, qu'il était migrant et arrivé en France il y a 6 mois. Avec son compagnon Mamoudou, ils étaient logé par une association dans la maison où il m'emmenaient. Plus nous parlions, plus nous nous enfoncions en pleine forêt. Finalement, cette ...