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Jeunesse infernale (3)
Datte: 31/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... s’enfonça dans son fauteuil et écarta les cuisses après avoir relevé sa jupe. Elle enleva sa culotte elle même ; je m’agenouillais devant elle et approchais mon visage. Je comprenais mieux ce qu’elle avait vécu ! Ses lèvres étaient encore marquées des cicatrices, signes de son passé de prostituée passée à tabac et repentie. Je ne pouvais avoir que respect et compassion. Elle poussa mon visage contre son sexe ; c’était la première fois que je me trouvais devant un sexe de femme ! Lorsque je pris la liberté d’approcher mes mains et d’ouvrir sa chatte très poilue elle aussi, j’eus la satisfaction de la découvrir très humide. Elle releva les jambes, découvrant ainsi toute son intimité. Une petite flaque de perte encombrait l’entrée de son vagin tandis que son capuchon et les plis de sa chatte étaient tapissés de traces blanchâtres. Je reconnaissais là le goût de notre Maître ; c’était aussi le mien. — Qu’as-tu à dire Elise ? — Sa chatte est très belle, Monsieur, et j’aime son odeur. — Reste là un moment pendant que je vais libérer l’esclave. Je m’enivrais du parfum puissant de Paula, mais n’osa rien faire de plus lorsqu’elle commença à se caresser légèrement par petites touches. J’entendis le bruit lorsque François retira l’attirail de Valérie. Venait le temps de sa punition. — Comme c’est toi qu’elle a offensée, je te donne l’autorisation de choisir sa première punition. Elle en aura donc d’autres ! Je me relevai et découvris la chatte ...
... monstrueuse de Valérie ! Elle était écarlate, si enflée qu’elle devait rester les cuisses écartées pour se déplacer. J’étais fascinée ! — Paula comme toi avez droit à un safe word. Je ne me sentais pas de taille à entendre sa voix ! Je ne savais pas non plus ce que François avait décidé de lui faire subir. — Je préfère aussi le bâillon Monsieur. Paula posa un casque à lanières de cuir sur la tête de Valérie et fixa une grosse boule de caoutchouc noir sur sa bouche qu’elle serra sur le casque. Très vite, sa salive coula sur sa bouche et dans son cou, mais elle n’émettait aucun son, pas plus qu’elle n’offrait la moindre résistance. C’était à moi ! Je me dirigeais vers le coffre, pris quatre pinces japonaises, et des poids qui indiquaient deux cents grammes. Je les posais sur chacune de ses lèvres et y accrochais les poids. Ses lèvres étaient si enflées qu’elles s’étirèrent à peine sous l’effet. Je lui ordonnais de marcher devant nous de long en large ; elle le faisait sans beaucoup de difficultés, mais le spectacle était très excitant. — Tu es bien raisonnable Elise, elle est beaucoup plus endurante ! dit François. Je me souvenais d’avoir « tracté » des poids plus légers qui m’avaient déjà beaucoup meurtri. — A toi Paula. Celle-ci prit une troisième paire de pinces, elle la posa, retira mes charges pour les remplacer par de beaucoup plus lourdes ; enfin ses lèvres commencèrent à s’étirer ; j’observais un premier rictus sur son visage tandis ...