1. Jeunesse infernale (3)


    Datte: 31/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    Homme marié, 55 ans, Parisien, j’avais rencontré Elise quelques semaines auparavant.
    
    Dans les chapitres précédents, elle et moi avions relaté nos premiers moments de cette relation maître/soumise que nous avions vécue.
    
    Il est vrai que souvent, je me suis fictivement mis à sa place ; pour cette suite, nous serons les auteurs de notre propre histoire, de nos ressentis respectifs.
    
    François
    
    Les « jeux » de domination, je les pratique depuis longtemps, ils me sont indispensables. Dans l’impossibilité de les vivre avec ma femme, nous avions conclu un accord tacite aux termes duquel, nous avions droit l’un comme l’autre d’avoir des moments de liberté pour « vivre nos fantasmes » comme on dit. J’oubliais, ma femme est elle aussi dominatrice ; nous ne pouvions pas de ce point de vue partager ces moments-là, encore que la suite me démentira éventuellement.
    
    J’avais décelé en Elise une soumise prometteuse ; novice, elle avait cependant un long historique de réflexion sur ce sujet et s’était montrée déterminée. Elle avait aussi cette caractéristique rare, elle était rousse !
    
    J’aurais aimé l’emmener plus loin ; je n’étais pas encore sûr qu’elle y était prête, mais je la sentais suffisamment motivée pour tenter ma chance.
    
    A la campagne où j’avais une maison, j’abritais parfois Valérie, une esclave mûre (50 ans), très « esclave » dans le sens où rien ne la rebutait, ni humiliations, ni sévices même les plus sévères. Elle allait même jusqu’à les susciter par une ...
    ... désobéissance de circonstance.
    
    Valérie était psychanalyste à Paris. Je l’avais consultée et pendant 2 ans, elle m’avait aidé à surmonter des moments difficiles. Au fur et à mesure de mes séances, je lui avais dévoilé ma vie, mes fantasmes (je les réalisais déjà), mon fétichisme du sexe féminin, de ses fluides et de ses odeurs ; en bonne praticienne, elle m’écouta, me fit rebondir et dérouler ainsi ses « perversions », mot qu’elle corrigea. Ca n’en était pas aux yeux de l’analyste qu’elle était !
    
    A l’issue de ma dernière séance, alors que je rédigeais un chèque en règlement de ses honoraires, elle demanda à me parler, précisant que notre conversation serait personnelle ; ses propos, pour reprendre, ses mots relèveraient de la même confidentialité que nos échanges « professionnels » dit-elle.
    
    Intrigué, je lui assurai qu’il en serait ainsi.
    
    J’étais assis face à elle, elle fit pivoter son siège, je ne voyais plus que sa chevelure et le haut dossier.
    
    — Monsieur R. vous avez été mon patient pendant 2 ans et vos fantasmes ne me sont pas inconnus, médicalement parlant ; vous n’êtes en effet pas le premier à me les dévoiler.
    
    — Je n’en doute pas !
    
    La dissimulation de son visage et de son buste cachés par le dossier ajoutait un léger mystère à notre conversation ; j’y étais sensible.
    
    — Vous avez cependant une façon d’en parler, de les décrire, ces fantasmes ou plutôt ces actes devrais-je dire dans votre cas, qui m’ont troublée. Je suis une femme qui partage vos goûts sans ...
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