1. Jeunesse infernale (3)


    Datte: 31/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... aussi trois et commença à me branler ; c’était divin, mais c’est son sexe que j’attendais. Sa bouche se posa sur mon anus pour me lubrifier longuement lorsqu’enfin je sentis son pénis à l’entrée de mes fesses. Il pénétra doucement, mais j’étais prête, je l’engloutis. Il ne fallait pas qu’absorber par mon plaisir, j’en oublie la chatte de Paula.
    
    Je commençais alors un ballet sur son clitoris avec ma langue ; j’adorais le sentir durcir sous mes caresses. Lorsque je le sentis ferme comme une petite bite, je ralentis mes mouvements pour la voir pousser son bassin, s’écraser sur ma bouche, se frotter violemment.
    
    J’augmentais le rythme jusqu’à ce qu’elle lâche un cri bref suivi de soupirs.
    
    L’excitation de ce moment jouait sur moi comme sur François qui s’était enfoncé au fond de mon cul et me labourait. Je sentais cette impression nouvelle de mes fesses qui mouillaient et lorsqu’il posa un doigt sur mon clito, je partis dans un orgasme bruyant et désordonné, ce fut long, puissant. Je savais que François lui n’avait pas encore joui.
    
    Il avait d’autres plans en tête !
    
    Il était temps de dîner. La table était dressée pour deux personnes, François et Paula dînaient assis l’un à côté de l’autre, un peu éloignés de la table en face d’eux, je devais tenir mon assiette d’une main, me nourrir de l’autre ; ils pouvaient ainsi me détailler, moi nue, cuisses écartées.
    
    Valérie se tenait à leurs pieds toujours en position offerte.
    
    La conversation roulait surtout sur moi ...
    ... entre François et Paula et j’eus une ou deux fois la possibilité de m’exprimer ce que je faisais avec précaution ; un mot mal choisi, une question inappropriée pouvait m’attirer le pire et je n’étais pas provocatrice.
    
    Au gré de leurs envies, je les voyais régulièrement doigter la chatte et le cul de l’esclave avant de les lui faire lécher, lui piquer les fesses avec leur fourchette ; elle était là pour être tourmentée.
    
    Lorsque Valérie débarrassa, je constatai que sa chatte avait repris sa taille normale ; elle s’activait en cuisine en bonne servante qu’elle était.
    
    — Allons dans le petit salon.
    
    Je vis Paula sourire.
    
    — Nous allons pouvoir débuter la nouvelle punition.
    
    Attenante au grand salon, ce « petit salon » était en fait une pièce dans laquelle était réunie une quantité d’instruments, croix, carcan, un lit de gynécologue et une poutre de bois triangulaire le sommet pointé vers le plafond et tenu à ses extrémités par des cordes accrochées dans deux poulies. En m’approchant, je découvris que cette poutre était découpée d’une multitude de petites pointes. Incapable d’en deviner l’usage, je n’allais pas tarder à comprendre.
    
    — Paula accompagne Valérie en cuisine pour qu’elle nous rapporte des cafés.
    
    Lorsque l’esclave revint porteuse de 3 cafés, François dit simplement à Paula « Prépare-la »
    
    Après y avoir accroché une chaîne qui pendait, elle fixa le carcan autour du cou et des poignets de Valérie ; l’objet était lourd et elle peinait à rester les bras en ...
«12...91011...»