Nue et en laisse dans le magasin ! - Histoires de Sexe

Nue et en laisse dans le magasin !

... d'enlever sa jupe, son dernier vêtement. Cette fois, elle était complètement nue, mis à part le collier et la laisse. Je lui ai dit de s’asseoir sur le canapé, et j'ai entrepris de lui faire un cunnilingus. Elle mouillait encore plus que la fois où j'avais joué avec sa chatte sur le lit de sa petite soeur, en utilisant le vibro de cette dernière. Encore plus que la fois où je l'avais prise en levrette sur le lit de ses parents. J'ai continué de la lécher tout en lui mettant des doigts, et elle n'a pas pu retenir des gémissements qui, sans la petite musique d'ambiance du magasin, aurait surement paru assourdissant.

Finalement, elle m'a regardé et m'a supplié de la pénétrer là, tout de suite. On ne refuse pas une telle demande, surtout de la part d'une fille aussi canon, nue et tenue en laisse. J'ai commencé mes va-et-vient, tout en regardant autour si nos ébats n'avaient pas attirés l'attention. Pour être tout à fait honnête, je n'avais pas pensé une seule seconde que nous puissions aller si loin sans se faire remarquer et gentiment mis à la porte. Dans l'hypothèse où, bien sûr, ce n'était pas la gendarmerie qui nous mettrait à la porte puis en garde-à-vue. Mais non, rien. J'ai continué, et j'ai fini par la prendre en levrette sur le canapé, lequel avait déjà quelques tâches de cyprine, de liquide pré-séminal et de sueurs. On a continué un petit moment et j'ai failli jouir, jusqu'à ce que je me rappelle mon idée de départ. Je me suis retiré (juste à temps !), et je lui ai ...

... dit :

"Viens ! On retourne dans le coin des chambres, j'ai une idée"

J'ai de nouveau tiré sur la laisse, et je l'ai ramené dans le secteur des chambres (elle s'est déplacé spontanément à quatre pattes, cette fois. Elle apprenait vite). On s'est arrêté au pif dans une chambre pour pré-ado, qui avait pour avantage d'être bien cachée : il fallait d'abord passer par une espèce de salon pour y arriver. Depuis l'allée, la chambre n'était visible que depuis une position bien précise. J'ai fouillé dans mon sac et j'ai sorti un tube de lubrifiant, que j'avais pris soin d'emporter. Caroline a eu un petit sourire en le voyant. Elle savait très bien où je voulais en venir. Bon sang, qu'est-ce que cette fille était parfaite ! J'ai ouvert le tube et elle s'est mise à quatre pattes sur la couette couverte de personnages d'un dessin animé. J'ai lubrifié son anus en jouant (elle a tressailli légèrement, le lubrifiant devait être froid), et j'ai fait de même avec ma bite. Comme la dernière fois, j'ai mis ma bite à l'entrée de son cul, et j'ai attendu qu'elle acquiesce. Ce qu'elle a fait sans tarder, bien sûr. J'ai pénétré en elle, lentement. Je pouvais la voir grimacer, pas habituée à cette sensation. J'ai continué, encore plus lentement, et j'ai commencé à faire des allers-retours, tout doucement d'abord. Ses grimaces se sont muées en gémissements. Elle adorait ça, la coquine. J'étais en train de l'enculer dans un lit d'un magasin Ikéa !

Encore une fois, la situation était tellement ...