Nue et en laisse dans le magasin ! - Histoires de Sexe

Nue et en laisse dans le magasin !

... et a commencé à me faire une pipe bien baveuse, sans se soucier un seul instant du bruit. Des filets de bave allaient de mon sexe vers sa bouche, en tombant sur son tee-shirt noir, laissant des taches caractéristiques. Ça a continué 5 bonnes minutes, pendant lesquels elle s'est amusée avec mon sexe, le léchant de haut en bas, passant sa langue sur mes testicules, suçotant mon gland. Finalement, douée comme elle était et étant donné la situation et le lieu, je n'ai pas pu me retenir plus longtemps. J'ai sorti mon sexe de sa bouche et j'ai lâché de longs jets de sperme sur son tee-shirt.

"Oh non, ai-je dit en faisant semblant de prendre un air désolé, j'ai tâché ton haut... enlève-le, je vais arranger ça."

Elle a franchement hésité, cette fois. Cela faisait déjà quelques minutes que nous faisions notre petite affaire, sans que nous ne soyons dérangé. La chance nous souriait, mais rien ne garantissait que ça continuerait ainsi. Quelqu'un pouvait débarquer à tout moment. Un client ou, pire, un vigile qui nous aurait surpris via une caméra. Mais, comme toujours, elle a fini par craquer. Voir cette fille en jupe et seins nus (elle n'avait pas mis de soutien-gorge) à mes pieds, avec un mélange de sperme et de bave dégoulinant de sa bouche sur sa poitrine, le tout dans un lieu public comme Ikéa, je vous avoue que j'ai senti à nouveau un début d'érection. J'ai donc sorti mes achats de la boutique pour animaux, un collier et une laisse en cuir. Elle n'a rien dit en les voyant, ...

... mais je voyais bien que quelque chose coulait depuis son entrejambe jusqu'à ses cuisses. Elle était terriblement excitée, elle aussi. Je suis ai mis le collier et ai installé la laisse. Elle était prête pour une promenade.

J'ai pris son tee-shirt et j'ai entrepris de l'essuyer sur le fauteuil à roulette qui se trouvait dans la pseudo-chambre. J'ai enlevé le plus gros, qui a tâché le fauteuil mais au final je n'ai fait qu'étaler le reste sur son tee-shirt. Bon, tant pis. Je l'ai rangé dans mon sac, et j'ai tiré sur la laisse pour qu'on sorte de la chambre. Elle a résisté, en protestant :

"Non, on va me voir !

- Il n'y a personne, j'ai vérifié. Il est trop tôt, le magasin est presque vide.

- Oui, <<presque>>... quelqu'un peut venir à tout moment !

- Et alors ? Personne ne nous connait. Au pire on se fera virer du magasin. Dois-je te rappeler ta promesse de ce matin ?"

Elle a fini par céder, et nous sommes engagé dans l'allée. Je lui ai dit de se mettre à quatre pattes : une chienne en laisse n'est pas bipède, que je sache. Elle s'est exécutée, offrant une vue incroyable à quiconque arriverait derrière nous. Bien entendu, j'avais conscience de jouer avec le feu. Aussi nous nous sommes arrêté au secteur suivant, celui des canapés. Ça tombait plutôt bien, c'est ce qu'on était venu voir. Je me suis installé dans un canapé en tissu qui était situé face au mur. Comparé à la pseudo-chambre, c'était bien peu de protection mais c'était mieux que rien. J'ai ordonné à Caro ...