Comment je me suis fait lécher le cul par ma coloc - Histoires de Sexe

Comment je me suis fait lécher le cul par ma coloc

... cheveux. Je me rapprochai de son oreille avant de lui susurrer :

— Alors que les choses soient claires. T’es qu’une putain de salope. C’est vrai ou c’est pas vrai ?
— C’est vrai.
— Dis-le !
— Je suis une salope.
— Une sale lèche-cul de merde.
— Une sale lèche-cul… de merde.
— Tu crois que tu mérites de prendre du plaisir, sale chienne ?
— Non !
— Alors, ne m’oblige pas à être méchante avec toi. Tu vas finir ce que t’as commencé et tu vas t’appliquer ! Et si je te vois encore te toucher, je balance à toute la bande que ton trip c’est de lécher des culs. Compris ?
— Oui, oui !

Je raffermis ma prise sur ses cheveux et l’entraînai par terre. Elle se laissa faire, docile. Je vins m’accroupir au-dessus de son visage. Puis j’ordonnai :

— Allez, baise mon cul, connasse !

Quelle satisfaction ! Je pouvais ressentir toute sa crainte et son respect dans ses bisous. Cette conne se comportait vraiment comme la dernière des traînées. Elle s’appliquait à me baiser les fesses et la rondelle avec empressement. Au bout d’un moment, je m’assis carrément sur sa gueule en lui ordonnant d’enfoncer sa langue dans mon cul. Elle gémissait, à moitié étouffée. Je me laissai aller à mon plaisir et commençai à glisser ma main entre mes cuisses. Mon clitoris était dur comme du bois et ma chatte dégoulinait de plaisir. Je commençai à me branler rapidement, mon regard vrillé dans le sien. J’haletai de plaisir. Je sentis sa langue aller et venir dans mon fondement. Je la narguai :

— ...

... Alors salope ! Vas-y, regarde-moi. T’aimerais te branler aussi, hein. Regarde comme je prends mon pied !

Je me mis à crier en atteignant l’extase :

— Oui, oui. Oh oui putain !

Je me détendis, mais restai assise sur sa figure. Je sentais sa langue me léchouiller encore la rondelle. Je ris doucement :

— T’en a jamais assez toi hein ?

Elle remua la tête pour dire non. Je me reculai et m’assis sur sa poitrine pour qu’elle puisse me répondre. Elle me dit :

— S’il te plaît, laisse-moi me faire du bien !
— T’auras qu’à te branler sous la douche, aux chiottes ou n’importe où, mais pas devant moi. En tout cas, je veux pas voir ça.
— T’es bizarre comme fille.
— Ouai, c’est ça, et toi t’es tout ce qu’il y a de plus normale ! (Je lui caressai tendrement le visage.) Alors mon cul, il t’a plu ?
— Ouais !
— Meilleur que celui de Gilles j’espère !
— Oui. J’ai jamais autant apprécié de faire du bien à quelqu’un. J’adore que tu me parles mal. Et puis… Il est tellement bon, ton cul !
— Merci, alors si tu es d’accord, je veux que tu deviennes ma lèche-cul personnelle. De toute façon, Gilles, il en a marre de toi. S’il te largue pas, c’est toi qui vas le larguer. Je veux que tu te consacres uniquement à moi. Comprends-moi bien, il n’est pas question que je renonce aux mecs, mais j’adore ce qu’on vient de faire. Je veux que tu me lèches le cul chaque fois que je te le demande. Je veux que tu te consacres uniquement à moi. Je veux qu’à chaque fois que je te fais signe, que je ...