1. Une initiation à la cuisine japonaise pleine de surprises


    Datte: 29/01/2021, Catégories: 2couples, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral nopéné, jeu, yeuxbandés, init, entrecoup, Auteur: Humoureux, Source: Revebebe

    ... seul.
    
    Et de fait, rapidement, je trouvais le "truc" pour manier ces satanées baguettes. Hélène, ma compagne, éprouvait quant à elle plus de difficultés. Bernard revint à la charge, profitant de la situation pour la serrer de plus en plus près.
    
    Grâce au bordeaux rouge qui avait été choisi par Bernard, l’atmosphère se décontracta, d’autant que nos nouveaux amis avaient le don de nous mettre à l’aise. Nous aurions quand même dû nous méfier…
    
    Vint le moment du dessert. Des crêpes flambées spectaculaires arrosées d’un bon vieil armagnac. Comme le maître d’hôtel nous proposait le café, Bernard l’interrompit :
    
    — Non, merci, nous avons l’intention de le prendre chez nous.
    
    Il ajouta, à voie basse :
    
    — Tout est délicieux ici, sauf le café. C’est avec plaisir que nous vous invitons chez nous. Nous habitons dans une des tours voisines.
    
    Surpris et confus, nous acceptâmes néanmoins l’invitation.
    
    Les additions réglées, nous sortîmes tous les quatre et il nous suffit de traverser la rue pour entrer dans la tour où logeaient Béatrice et Bernard.
    
    Ascenseur. En route pour le 14ème étage. Moquette épaisse dans le couloir.
    
    Nous entrâmes dans un appartement cossu, mobilier style Roche et Bobois, un très grand séjour prolongé par une terrasse avec vue imprenable sur Paris by night, dont se dégageaient la Tour Eiffel scintillante, le Trocadero, la Seine parcourue par les bateaux à touristes.
    
    Bernard nous fit les honneurs des lieux cependant que Béatrice s’éclipsait ...
    ... en cuisine pour préparer le café. Je le trouvais de plus en plus empressé vis à vis d’Hélène, qui s’efforçait de garder bonne contenance
    
    — Vous savez que vous nous avez paru très sympathiques d’entrée. J’espère que nous deviendrons de bons amis.
    — Nous sommes quand même confus de vous déranger. Votre invitation à venir prendre le café chez vous est éminemment sympathique. Mais après une rude journée de travail, vous aviez peut-être plus envie de vous retrouver tous les deux.
    — Absolument pas. C’est un grand plaisir de vous recevoir, n’est-ce pas, chérie ?
    
    À cet instant, Béatrice nous rejoignait, portant un plateau d’argent avec le service à café, quatre cafés fumants, crémeux à souhait, répandant une odeur enivrante.
    
    Le café dégusté, Béatrice nous demanda la permission de s’éclipser quelques minutes.
    
    — La journée professionnelle a été longue. Bernard, occupe-toi de nos hôtes pendant que je vais me rafraîchir quelques instants
    — Mais certainement, ma chérie. Gérard, je vous propose que nous tombions la cravate. Ainsi, nous serons plus à l’aise et décontractés. Je vais vous faire les honneurs de ma cave à cognacs et armagnacs.
    — Ne pensez-vous pas plus sage que nous nous éclipsions. Il se fait tard, répondis-je. Nous ne voudrions en aucune façon abuser de votre hospitalité.
    — Il n’en est pas question. Nous n’allons pas nous quitter comme ça. Que pensez-vous pour commencer de cette fine Napoléon millésimée ? En général, elle plaît aux dames. J’entends Béatrice ...
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