1. Mes fantasmes et l'experte


    Datte: 29/01/2021, Catégories: fh, couple, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, parking, voiture, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, hdanus, hgode, confession, cocucont, Auteur: Divadation, Source: Revebebe

    ... était revenue avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle m’a baisé avec. C’était divin. Je me faisais sodomiser, pas elle. J’étais l’enculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant qu’elle me prenait. Moi aussi, j’aimais. Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire qu’elle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à torturer ma petite rondelle. Je pensais qu’elle sucerait bien un mec,, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disait. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.
    
    Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait duré trois semaines – elle s’était concentrée à l’époque pour avoir son bac – elle me fit une surprise. Non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en m’accueillant après le travail par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout. À quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. J’estimais enfin être cocu pour de bon. Sucer n’est pas tromper, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je m’approchai.
    
    — Ton cocu est là, ma chérie !
    
    Elle se redressa et me sourit :
    
    — Regarde chéri, il a un nouveau tatouage sur la queue ! Il est gentil, il a voulu que j’en profite la première.
    
    Il sortit une belle grosse queue bien lourde de ma femme et me présenta son œuvre. Effectivement, la bite et ...
    ... même les couilles étaient couvertes de dessins. Il replongea la chose dans des profondeurs marécageuses. Je n’avais pas touché, ni baisé le sexe de ma femme depuis dix jours, et c’est un autre qui profitait de cet antre. J’en savais la douceur, la chaleur. J’imaginais l’excitation et l’étroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéanties par un colosse à la bite multicolore. J’étais cocu. Je bandais.
    
    Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages dépourvus de toutes pilosités faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses onduler sous la peau au rythme des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindres. Détail anatomique qu’elle n’avait pas mentionné lors de nos premiers ébats le concernant. Elle voulait m’en faire la surprise.
    
    Peu importe, je suis cocu, je bande, je l’aime ma salope. Je regardai la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connues de bien plus grosses par le passé, elle l’encaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne colorée, luisante des saintes sécrétions, encadrée par des lèvres gonflées d’excitation, ornées de dorure. Fasciné par le spectacle, j’attendais de dénouement. Le bâton disparut complètement, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Il éjaculait profondément en elle. Elle criait sa jouissance, bien plus fort qu’avec moi me semblait-il, bien trop fort pensais-je. ...