1. Mes fantasmes et l'experte


    Datte: 29/01/2021, Catégories: fh, couple, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, parking, voiture, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, hdanus, hgode, confession, cocucont, Auteur: Divadation, Source: Revebebe

    Comme bien des hommes, je fantasme sur ma condition de cocu. Le suis-je ou pas encore ?
    
    Certes, je l’ai déjà remarquée en train de minauder, de se faire séductrice devant quelque beau mâle lors d’invitations ou de réceptions. Mais a-t-elle déjà franchi le pas ? Son premier amant sera-t-il un collègue, un voisin, un ami, une vague connaissance ou un inconnu ? Est-ce que ce sera sans lendemain ou une histoire au long cours ? En tout cas, je l’observe mais n’y vois aucun signe. Je l’attends, peut-être l’espéré-je même ?
    
    Souvent je l’ai imaginée entre des bras inconnus alors que je la laissais seule faire du shopping, le samedi. Je me branlais en lisant des récits de cocus ou en regardant des pornos. Je les choisissais toujours avec une fille qui ressemblait à Sophie. Brune, taille moyenne, belle poitrine mais pas trop grosse. Je souhaitais toujours en choisir une avec de vrais seins, comme ma douce. Je prenais mon temps, j’avais tout mon samedi. Pas encore d’enfant et pas de famille à proximité.
    
    Puis une fois le film choisi, je me lisais un récit traitant d’un cocu. Et enfin, je passais le film. Ma femme prenait la place de cette fille et le récit me donnait la matière pour parfaire mon fantasme. Ma femme se faisait donc baiser sur internet au moins une fois par mois. Je profitais également de cette solitude pour fouiller tout ce que l’on peut fouiller dans un appartement, à la recherche d’indice confirmant ou pas mes doutes. Mais en vain.
    
    Nous étions sans doute ...
    ... trop jeunes pour qu’elle s’adonne à ce genre de sport, faut dire qu’à 27 ans chacun et mariés depuis un an seulement, elle aurait été vite en besogne. Mais moi je suis un fantasmeur, un rêveur, un pelleteux de nuages comme disent les Québécois. Pour ce qui concerne le sexe en tous cas. Pour le reste, je travaille dans une tour de verre de la Défense, dans un sens je pellette aussi les nuages. Mais c’est plutôt le rôle de la tour qui m’abrite, elle pellette les nuages et gratte le ciel, enfin, y paraît.
    
    Sauf que, rivé devant un ordinateur, je vois défiler des chiffres, pas de nuages, pas de ciel. Pas vraiment le temps.
    
    D’ailleurs, je suis assez loin des fenêtres. Les fenêtres, c’est les chefs qui sont à côté. C’est marrant qu’il faille être chef pour flâner à côté des fenêtres. Flâner, c’est plutôt une activité de salarié lambda. Attention, je suis cadre, moi, pas un salarié lambda. Mais je n’encadre personne, sauf moi. Et puis, je suis assez loin d’être chef aussi. Pas vraiment dans mon tempérament. Puis de toute façon, le salaire est confortable, pourquoi aller chercher des ennuis à devenir chef quand on est du genre dominé ? Sauf à vouloir travailler près des fenêtres. Mais moi je préfère faire le boulot vite et bien. Pas de pause-clope, un café que si on me l’apporte, autant dire très peu de café, une pause-déjeuner minimaliste, sandwich ou salade au coin du bureau. Je fais le boulot dans les temps. Je ne rentre pas chez moi à point d’heure. Je reste bien concentré, le ...
«1234...10»