Kevin le Motard
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
vacances,
piscine,
forêt,
campagne,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... casque, je suis toute décoiffée puis il prend ma main dans la sienne ; nous admirons la vue à 360° tout au long du petit chemin de ronde que nous gravissons. Nous en faisons le tour complet, main dans la main, puis nous asseyons à l’ombre d’un figuier et de pins parasols. Les cigales chantent, Kevin a entouré mon épaule de son bras. Nous ne parlons pas, nous regardons le paysage. J’ai toujours au creux du ventre cette étrange boule, plus lourde encore. Alors, je fais malgré moi un geste qui m’étonne : je prends la main de mon compagnon, la pose sur ma poitrine, et ferme les yeux.
Il a à peine bougé les doigts, et je sens des ondes qui en partent, et me traversent le corps.
Je lui murmure :
— Embrasse-moi.
Ses lèvres se posent sur les miennes, légères comme un papillon. Je les entrouvre, et sa langue les lèche, ses dents me les mordillent. J’ouvre les yeux, ses grands yeux bleus sont dans les miens. Mon souffle se fait plus court, mes seins se soulèvent, sa main se fait plus lourde. Sa langue m’investit, me fouille, me pénètre. Je suis si bien, je frémis de la tête au pied.
— Kevin ?
— Oui ;
— J’ai envie que tu me fasses l’amour !
Sa main se resserre sur mon sein, l’autre fait glisser mon blouson, pénètre sous mon t-shirt. À travers mon soutien-gorge, son doigt excite mon téton. Je pose ma main sur sa braguette. Il ôte mon t-shirt, dégrafe mon soutien-gorge et sans même l’ôter me masse la poitrine avec une infinie douceur. Je crispe les doigts sur son ...
... entrejambes, je sens son membre qui se déploie. J’ouvre la fermeture éclair, défait sa ceinture, le débusque dans son caleçon et le sors, orgueilleux. Il est aussi beau que la dernière fois. Je veux le saisir, mais il arrête mon geste et me dit :
— Cette fois-ci, c’est à toi d’être heureuse.
Je le regarde au fond des yeux, prends mon air le plus coquin et lui réponds :
— Nous pouvons être heureux tous les deux ! Déshabille-moi.
Il enlève mon soutien-gorge, mes chaussures, déboucle la ceinture de mon jean. Il a du mal à le faire glisser sur mes hanches car il est très serré. Je me soulève et l’aide. Je n’ai plus que mon string, il le baisse un peu, regarde un long instant ma fente et me dis :
— Tu as la plus belle chatte au monde.
Je fonds, je craque, je le veux.
Tout doucement, il fait glisser mon dernier vêtement sur mes hanches, mes cuisses et mes jambes. Je suis nue devant lui, en pleine nature, heureuse de l’être, sous le soleil et le chant des cigales. Il se penche vers moi et pose ses lèvres à l’orée de ma féminité. Je m’ouvre à lui, pour lui. De la pointe de la langue, il trace son chemin en moi, y pénètre, hésite, insiste, ressort, revient. Je m’écarte au maximum pour lui faciliter la tâche. Il glisse ses mains sous mes fesses, pour me soulever vers lui. Mon minou monte vers son visage, sa bouche fond sur ma féminité. Il me pénètre, m’aspire, me pompe, me boit. La pointe de sa langue agace, effrontée, mon bouton. Des ondes me secouent, je jaillis, le ...