1. Kevin le Motard


    Datte: 28/01/2021, Catégories: fh, fhhh, fplusag, jeunes, extracon, vacances, piscine, forêt, campagne, fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, Partouze / Groupe confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... sur ses hanches. Dessous, il a un t-shirt à manches courtes vert. Je regarde son bras. Il a la peau arrachée du coude jusqu’au poignet. Il gémit lorsque je lui soulève l’épaule. Je regarde attentivement la blessure. Elle est assez étendue, mais visiblement, seulement superficielle : seule la peau, légèrement râpée, est abîmée. Je lui demande de bouger le bras, puis l’épaule. Il grimace, mais il ne semble pas y avoir de fracture.
    
    — Je vais vous chercher de quoi vous désinfecter, ne bougez pas…
    
    Lorsque je reviens avec le nécessaire, je le trouve debout, tentant d’ôter le bas de sa combinaison d’une seule main.
    
    — Attendez, je vais vous aider. Étendez-vous, je vais vous l’enlever.
    
    En maugréant, il se couche sur le dos. J’ôte ses bottes et descends le zip jusqu’à son entrejambes. Je prends la combinaison sur ses hanches et la descend avec d’infinies précautions. Le cuir colle sa peau. Il soulève son bassin pour m’aider. Son slip apparaît, assorti à son t-shirt. Il est minuscule, et je ne peux m’empêcher de regarder l’importance protubérance qu’il cache plutôt mal.
    
    Je tire sur la jambe droite, indemne, du bas de sa combinaison. Il ne lui reste plus que la jambe gauche, mais elle adhère au niveau du mollet. Pour la décoller, je glisse la main le long de sa cuisse jusqu’à sa blessure et décolle le cuir de la chair. Mon coude heurte sa virilité bien innocemment, je me sens mal à l’aise. Je parviens à dégager la jambe gauche. Il la bouge. Là encore, il ne semble pas y ...
    ... avoir de fracture. Je sens qu’il s’apaise un peu, que sa colère contre moi retombe. Je prends la trousse de secours et, avec douceur, lui désinfecte le bras. Puis je le recouvre de poudre cicatrisante, et lui fait un pansement de gaze. Il me demande :
    
    — Vous êtes infirmière ?
    — Non, mère de famille simplement !
    — J’aurais cru, pourtant…
    
    Je suis flattée par son compliment. C’est le premier mot aimable qu’il me dit !
    
    J’examine son mollet. La blessure est moins grande, mais un peu plus profonde. De petits cailloux y sont visibles.
    
    — Je dois vos désinfecter plus énergiquement, là.
    
    Je tamponne sa blessure avec une solution légèrement alcoolisée. Il serre les dents. Lorsque cela me paraît propre, je mets une crème apaisante, puis la poudre. Je le bande, puis le regarde. Je croise son regard fixé sur mes seins, je n’ai pas fait attention, mais mon corsage baille largement sur mon soutien-gorge. Je suis troublée, mais je me dis qu’après tout ce que je lui ai fait endurer, je ne peux pas lui en vouloir de se rincer un peu l’œil ainsi. Je laisse mes boutons donc ouverts comme si de rien n’était, et m’assure de la stabilité du pansement. Lorsque je me relève, j’ai l’impression que la protubérance de son slip a encore grossi. Je vais lui chercher un jean de mon mari. C’est un peu large à la taille, court sur les jambes, mais ça va quand même.
    
    Il s’assied, je lui propose une bière, il accepte.
    
    Lorsque je me penche pour la lui servir, je sens à nouveau son regard dans ...
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