1. Mon Mari et Moi Avons été Forcés


    Datte: 28/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    ... quatre pattes, le nez entre mes fesses. Il lui ordonna de me lécher la chatte, qui devait être maculée du sperme de Jean en train de sécher. Mon mari le fit à contre-coeur. Mais progressivement, il substituait sa salive à la semence.
    
    Il releva la tête, croyant en avoir terminé. Mais Bernard était impitoyable. Il lui commanda de me vider le vagin puis le rectum avec ses doigts et de consommer le résultat de son curetage. Je pensais que mon mari ne pourrait pas le faire sans vomir mais je fus surprise de constater qu'il s'acquittait de sa tâche sans trop rechigner. Moi, je savais par expérience que d'une manière générale le sperme frais a plutôt bon goût, mais de là à ce que mon mari l'apprécie ...
    
    Pendant que P. me vidait, Bernard lui a caressé les couilles par derrière et mon mari a eu une érection. Lui non plus n'y pouvait rien. C'était plus ou moins instinctif à cause des attouchements. Mais surtout, il n'essayait pas de se soustraire au pelotage. "Mais c'est qu'il bande! On ne va pas le laisser comme ça, ça ne serait pas charitable." Bernard m'a détachée. Je me suis mise à genoux et j'ai massé mes poignets et mes chevilles, endoloris pas les liens. Il a forcé mon mari à se mettre en levrette, le cul relevé et la tête dans les draps toujours humides et il m'a dit de me tenir assise en face de lui. Il a proposé à André de venir se faire sucer et lui-même s'est placé derrière mon mari.
    
    André a mis sa queue devant ma bouche. Le gland était luisant de liquide ...
    ... pré-séminal. J'ai toujours beaucoup aimé cela et j'ai léché délicatement pour ne pas diluer le goût dans celui de ma salive. Je tenais le sexe dans ma main, je touchais le méat de la pointe de la langue et je formais un fil avant de le couper avec mon autre main pour le déguster. Quand il n'y en a plus eu, j'ai pris toute la bite, jusqu'au ras des couilles. Mon mari me regardait. Il ne semblait pas comprendre pourquoi j'étais devenue si participative. Son trouble n'était pas communicatif. Au contraire, je dois avouer qu'il m'excitait. Pendant que je suçais André, Bernard continuait à caresser le sexe de mon mari, ce qui fait que P. était en même temps désapprobateur de me voir pomper un autre noeud que le sien et visiblement avait du désir comme le montrait son érection naissante. Je ne perdais pas une miette du spectacle et Simon qui filmait, lui non plus. Bernard cracha dans le creux de sa main libre et vint barbouiller les fesses de mon mari. Puis il lui caressa l'anus. "Sa bite durçit quand je lui touche le trou du cul. Il a l'air d'aimer ça ton homme. Remarque, c'est mieux comme ça parce que je vais l'enculer. Ca serait bien qu'on prenne notre pied tous les deux, n'est-ce pas mon chou?" Il lui perça le sphincter et lui entra son majeur jusqu'à la garde. P. se souleva sur ses avant-bras et eut un mouvement vers l'avant pour tenter de se soustraire à la pénétration. Mais Bernard allongea le bras et l'encula quand même à fond. Puis il vint appuyer sur la tête de P. pour le forcer à ...
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