Mon Mari et Moi Avons été Forcés
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... glissait. Mais quand le bout du noeud a réussi à forcer le passage, le graissage a joué son rôle et Simon s'est assez vite retrouvé avec ses couilles contre mes fesses. Il est ressorti. "Bernard, prend moi ce magnifique cratère que madame nous offre. P., vise un peu comme elle est accueillante du cul ta femme." Apparemment, mon trou était béant. Simon s'est essuyé les mains sur les draps, s'est aggripé à mes hanches et s'est planté en moi. Il m'a littéralement labourée. A l'opposé de Jean, il n'y avait aucun sentiment dans son acte, juste un assouvissement. Là, j'étais vraiment violentée. Ses coups me faisaient souffrir. J'aurais voulu fermer mes fesses comme on ferme la bouche mais j'étais obligée de subir chaque intromission. Je gémissais, je serrais les dents, je fermais parfois les yeux. Mais ce qui s'apparentait maintenant à un châtiment, c'était ce que j'avais dit souhaiter quand je décrivais mes fantasmes sur internet. J'étais abusée, sans protection, pas même celle de mon mari et qui en plus assistait à ma sodomisation. La douleur allait de paire avec le plaisir cérébral. J'étais sans doute masochiste à cet instant.
Mon mari, pour sa part, était inquiet. Il ne voyait que ma souffrance et ne pouvait imaginer la jouissance qui l'accompagnait. Mais il ne pouvait ni bouger, ni protester.
Simon a continué à me défoncer jusqu'à ce qu'il jouisse. Lui aussi a écrasé mes hanches en se ruant en avant. J'ai senti son jet dans mon intestin. Il a eu un cri animal, a continué ...
... à aller et venir en moi, envoyant une giclée de foutre à chaque fois que je sentais ses couilles taper contre mes fesses. Puis il est ressorti.
"Maintenant on va s'occuper du mari. On ne va pas le laisser se morfondre sur sa chaise. Tu vas participer, vieux." Bernard s'est approché du fauteuil et a retiré le bâillon et défait les liens. P. aurait pu exprimer sa haine, soit en criant, soit en frappant, mais il avait atteint un stade de résignation. Il était debout, les bras ballants, plus ou moins inerte. Bernard lui a dégrafé son pantalon sans qu'il s'y oppose. Il l'a déshabillé entièrement, P. soulevant la jambe pour laisser passer le blue-jean et le slip ou pour qu'on lui enlève ses chaussettes. Il leva aussi ses bras pour faciliter le passage du t-shirt. "André, viens filmer la bite et le slip de monsieur P. Regarde, il a tâché son calbar. Ma parole, mais c'est que ça l'a excité de voir sa femme se faire baiser!" Je regardais mon mari nu, soumis, et je vis au bout de son sexe un filet qui s'en détachait et s'allongeait. Comme moi, ses sécrétions le trahissaient. Il ne bandait pas, mais il avait été excité, cela ne faisait plus de doute. Et la caméra immortalisait ce fait.
"Bien, tu vas aller sur le lit et tu vas nettoyer ta femme. Elle est pleine de foutre dans ses deux trous. Je veux que tu lui redonnes l'éclat du neuf." Il pris mon mari par le bras et le poussa vers le matelas jusqu'à ce qu'il grimpe dessus. Puis il lui indiqua comment il voulait qu'il se place, à ...