1. Ma collègue Mireille


    Datte: 22/01/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fépilée, noculotte, Oral fdanus, fsodo, confession, extraconj, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... monte et le lui dit, quand on entend le grincement du portail extérieur.
    
    — Oh merde, j’avais oublié, c’est Bastien de la compta qui vient me chercher pour le cours de squash du mardi soir.
    — Dépêche-toi de cracher ta sauce, alors, vite !
    
    Je suis excité comme un fou, elle aspire ma teub et me branle avec violence et je sens des flots de foutre inonder sa gorge. Elle avale tout, comme la première fois. Je suis fourbu ! Elle s’allonge sur le lit, et me dit qu’elle va se reposer un peu. Bastien est à la porte, et continue de sonner. J’enfile mon short de sport en descendant les escaliers.
    
    — Salut Aurélien, qu’est-ce que tu foutais ? Ouhhh, ça sent la transpiration, tu as été courir ?
    
    La soirée est difficile. Je perds les trois sets et rentre vite à la maison. Sur le chemin, j’appelle Chiara pour lui souhaiter une bonne nuit.
    
    Quand enfin je me retrouve dans la maison, il n’y a pas de bruit et Mireille dort dans le lit. Je ne veux pas la réveiller et m’allonge à côté d’elle, en chien de fusil. Je dors mal ! Le matin, je me réveille, seul dans le lit, avec une gaule d’enfer. Mireille entre dans la chambre en nuisette, le plateau du petit déjeuner dans les bras. J’ai bien calculé, si on veut arriver à l’heure au bureau et avec un peu de ...
    ... temps pour se préparer, on a vingt minutes…
    
    Elle pose le plateau au sol, découvre la couette, sourit à mon érection, et vient naturellement se positionner en 69. Je sens sa chatte toute épilée et une bonne odeur de savon. Je lape goulûment ses lèvres pendant qu’elle me pompe comme une affamée. Son anus me regarde, et j’ai envie d’y enfoncer mon pouce.
    
    — On n’a pas le temps de s’amuser, me dit-elle. Dis-moi si tu as envie de quelque chose ?
    — Sans hésiter, t’enculer, Mireille, j’en ai rêvé toute la nuit, et Chiara, elle, ne veut pas !
    — Oh la gourde ! Et bien d’accord, mais viens vite, sans préparation, je veux te sentir passer.
    
    Elle se met à quatre pattes, les seins dans les draps, attrape ses fesses et les écarte. Ma queue est devant son trou. Après un bref passage dans sa chatte, histoire de lubrifier un peu, j’approche mon gland et, dans un mouvement brutal de ses fesses vers l’arrière, elle s’encule sur mon pieu.
    
    — Ah c’est bon, une bonne bite dans le cul ! hurle-t-elle ! Vas-y fort, mon amour, déchire-moi !
    
    Elle crie des insanités jusqu’à ce que je jouisse dans ses boyaux. Elle m’embrasse puis elle part se laver. J’attaque mon plateau de petit déjeuner avec le sentiment qu’il y aura d’autres petits déjeuners aussi profonds… 
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