1. Ma collègue Mireille


    Datte: 22/01/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fépilée, noculotte, Oral fdanus, fsodo, confession, extraconj, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    Bonjour,
    
    Je m’appelle Aurélien, j’ai trente-deux ans et ma femme Chiara a vingt-huit ans. Comme elle a beaucoup plus de vacances que moi, étant dans l’enseignement, elle est pour dix jours avec ses parents dans leur maison en Italie.
    
    À la pause-café ce matin, je discute avec des collègues et Mireille, nouvellement divorcée, se plaint qu’avec les travaux de peinture qu’elle fait afin de rafraîchir son nouvel appartement, il lui est très dur de dormir dans des odeurs aussi fortes. Je lui propose, sans arrière-pensée, notre chambre d’ami pour quelques jours et, après une courte hésitation, elle accepte.
    
    18 h, elle arrive à la maison avec une petite valise. Elle me remercie, je la conduis à sa chambre et lui propose ensuite de nous installer sur la terrasse en sirotant un verre. Mireille range tranquillement ses affaires et je l’observe. Elle va avoir quarante ans, n’a jamais eu d’enfant et a conservé son corps de jeune fille, hormis les seins qu’elle a dû faire gonfler, ce qu’elle n’a jamais avoué. C’est d’ailleurs un des sujets de discussion favoris des mâles du service. Elle est fine, les cheveux longs châtain, le teint hâlé des filles de montagne, les jambes longues et nerveuses, le visage régulier, charmant, fatigué. Elle s’est changée avant de venir, et porte un débardeur blanc, une jupe en jean avec des boutons latéraux et des spartiates montantes en lin.
    
    Nous sommes sur la terrasse qui donne sur le jardin. Elle s’est allongée délicatement sur la chaise ...
    ... longue. Elle respire et sourit. Je lui tends son verre et dans le mouvement qu’elle fait pour le prendre, elle a légèrement écarté ses longues jambes, les resserrant aussitôt. Mais le mal est fait. J’ai eu le temps de voir et je suis rouge de confusion.
    
    — Qu’est ce que tu as Michel, ça va ?
    — C’est que, bon, voilà, c’est un peu gênant, mais j’ai cru voir que tu n’avais pas de… culotte, et qu’en plus, tu étais épilée !
    — Oh, la belle affaire, excuse-moi mais, Chiara, ta femme, elle ne s’épile pas ?
    — Pas vraiment non, elle est plutôt forêt vierge, mais bon, je m’y suis habitué !
    — Moi, je me sens plus propre ainsi, et en jupe, je mets très rarement de slip, c’est juste une habitude de confort !
    — Excuse-moi de te le demander, et je comprendrais que tu refuses, mais cela t’embêterait de me montrer encore une fois ?
    — Tu es vraiment un petit polisson, on dirait un ado ! Bon OK, mais juste avec les yeux !
    — Oh merci, promis je ne dirai rien au bureau, ni à Chiara, d’ailleurs !
    — Mais j’y comptais bien !
    
    Tout doucement, Mireille écarte les genoux, et j’ai la divine surprise de voir son adorable pubis, lisse comme un caillou. Elle me regarde en souriant. Je suis hypnotisé par sa fente, très régulière, les grandes lèvres s’ajustant parfaitement, légèrement gonflées. Et très, très lentement, elle referme son compas. Je me sens « tout chose », et dans ma tête, ma chimie est bouleversée et en demande plus !
    
    — Je peux regarder encore un peu s’il te plaît, la supplié-je.
    — Tu ...
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