1. La mère de Jean (2)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Divers, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... jaillir tel un diable hors de sa boite. Adèle regardait avec les yeux remplis de malice.
    
    Cette fois elle allait sentir cette bite en pleine forme, le jeune homme allait la ramoner et elle n’attendait plus que l’hallali. Il se pencha en avant et là, Adèle l’attira sur elle. Elle ne chercha pas bien longtemps ses lèvres. Quand les deux bouches se réunirent, ce fut pour un baiser ardent. Les souffles coupés, ils durent un instant interrompre ces embrassades pour mieux les reprendre. Elle s’excitait de sentir frémir contre son flanc, le vit aussi dur qu’un piquet. Et le jeune lui, montrait des signes de fébrilité.
    
    — Attends ! Ne sois pas aussi pressé. Va doucement. Je veux savourer ! Fais monter mon plaisir et le tien n’en sera que plus intense.
    
    —… mais…
    
    — Laisse-toi aller. Je vais te montrer. Tu te retiens un peu tout de même ! Pense à des trucs pas trop sympas, ne viens pas trop vite. Une femme, ça se déguste, comme un bon vin. Tu vois ?
    
    — Oui… oui madame ! Je… peux aussi avoir une petite gâterie ? La même que celle que vous avez faite à Guy cette nuit ?
    
    — C’est lui qui te l’a dit ou…
    
    — Oui ! Il était comme fou ce matin. Il m’a avoué que personne n’avait une bouche aussi…
    
    — Aussi quoi ? Allons dis-moi ce qu’il t’a raconté !
    
    — Que vous étiez un sacré bon coup ! Que sa Josiane ne vous arrivait pas à la cheville et qu’il avait joui dans votre… enfin dans votre gorge.
    
    — Je ne veux pas de cela. D’accord ? Mais d’abord tu me donnes du plaisir et ...
    ... ensuite seulement je t’en procurerai. Tu seras comme ton ami… gâté. C’est promis.
    
    — Humm ! Et je dois commencer par où ?
    
    — Ben c’est toi l’homme non ? Alors, caresse-moi… là, tu vois. Oui doucement, avec ta bouche, sur la pointe des seins. Tu sens comme ils se gonflent, regarde aussi, tu vois le téton qui prend du volume ?
    
    — Humm ! Oui ! C’est trop beau, trop bon.
    
    — Bien, alors tais-toi et continue. Tu descends là… oui comme ça avec ta bouche, non, plus lentement, ne vas pas trop vite.
    
    — Oui… !
    
    — Tout le plaisir réside dans la douceur et la lenteur des caresses, tu saisis ?
    
    — Euh… ou… oui !
    
    — Voilà, maintenant tu mets tes doigts, oui c’est bien, mais va moins vite, on a tout notre temps. Là, tu peux passer doucement là, comme ça… oui sur toute la longueur. Toutes les femmes que tu rencontreras dans ta vie vont adorer ce… oui nous aimons toute cette façon terriblement tendre… de nous câliner.
    
    — Oh… j’ai trop envie. Je… j’ai peur de ne pas pouvoir me retenir.
    
    — Tu crois ? Pas déjà ! Tu ne vas pas cracher à la Lucky Lucke…
    
    — A quoi ?
    
    — Tu sais, le cow-boy qui tire plus vite que son ombre…
    
    — Non… je vais essayer de me retenir.
    
    — Tu as intérêt parce que maintenant que tu as mis le feu, il te faudra l’éteindre. C’est bien de donner envie, mais il faut aussi savoir donner du plaisir.
    
    — Je veux bien écouter vos conseils… mais comment faire ?
    
    — Pense à une image qui te fait mal et tu verras que ça va couper un peu… sinon tant pis, j’espère ...
«1...345...»