1. Descente au Paradis (1)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... à même le sol.
    
    Marcel, lui, en a pour encore de longues heures...
    
    ***
    
    Elle voit le phallus en bois.
    
    Suzanne est devant la porte de sa maison, la chemise de Marcel grande ouverte, devant un monstre qui ressemble à Marcel. Mais il est plus gros, plus poilu, et il est nu : entre ses cuisses se tient un organe d’une grosse vingtaine de centimètres de long, pour cinq à six centimètres de larges : bandé au maximum, il est d’une couleur bizarre, comme s’il était en bois. Elle sait que c’est Marcel, elle en est intimement persuadée, mais son visage ne lui ressemble pas.
    
    Suzanne a le visage amorphe, complètement hypnotisé. Elle sait ce qui l’attend : en un instant, elle se retrouve au milieu de la clairière, et sans même enlever sa chemise, attrape le monstre par la main pour l’entraîner au milieu de la clairière. Elle veut le voir quand il va la prendre : elle s’allonge, et écarte ses cuisses, dévoilant sa foufoune à son amant. Avec deux doigts, elle écarte ses lèvres, et le monstre place son phallus à l’entrée de sa grotte, avant de pousser pour la prendre. Suzanne hurle de plaisir et de douleur ; le gland n’est même pas encore passé. La bête, Marcel, qui n’a presque plus rien d’humain, attrape violemment ses cuisses, les griffant au passage de ses ongles longs et sales. Il fait de petits aller-retours pour la forer, et se fraye un chemin dans son ventre. Suzanne halète, transpire et agrippe de toutes ses forces la terre en dessous d’elle.
    
    Marcel finit par entrer ...
    ... en elle jusqu’à la garde, avant de se retirer. Il se lève, et semble peu à peu reprendre forme humaine. Seuls ses longs poils poivre et sel sont restés, à tel point qu’il ressemble plus à un gorille qu’à un être humain. Machinalement, elle se place à genoux devant lui et prend son sexe dans la bouche. Les sensations sont si réelles : l’air frais qui sèche la mouille de son entrecuisse, les poils sous la paume de ses mains, posées sur ses cuisses, et ceux de ses couilles qui viennent lui chatouiller le menton. Le goût aussi, fort, plus fort encore que l’odeur de transpiration de plus tôt. Elle relève la tête, la bouche ouverte, et laisse échapper un filet de bave, les yeux dans le vide : seul le plaisir compte, désormais, plus rien d’autre.
    
    La belle quadragénaire se retourne, se place à quatre pattes et tend sa croupe pour recevoir son dû : d’un coup brutal, Marcel lui attrape les cheveux et tire en arrière, la forçant à se cambrer plus encore. Il lui claque les fesses, de manière particulièrement humiliante, et enfonce son sexe au fond de son vagin, frappant son utérus à chaque coup de hanche ; Suzanne a l’impression de se faire arracher le ventre. A chaque coup de hanche, ses seins ballottent plus fort encore ; à chaque coup de hanche, elle est un peu plus abrutie de plaisir ; à chaque « floc », les énormes testicules de Marcel viennent frapper sa foufoune en feu, qui se trémousse au bout du sexe de son amont. Plus le plaisir monte, plus Suzanne redevient active : elle ...