1. Descente au Paradis (1)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... construit la moitié de sa fortune uniquement par son travail, et qui se retrouve nue au milieu de la forêt, alors que le jour est pratiquement tombé, trimballé par un vieillard malodorant et franchement dégoûtant malgré sa gentillesse. Suzanne se sent rabaissée, terriblement honteuse, mais la situation l’excite : pour la première fois depuis sa naissance, elle ne se sent plus maîtresse de ce qui l’entoure, et ça la terrifie, parce qu’elle se sent perdre le contrôle. Mais pas seulement : bien malgré elle, elle ressent une forme d’excitation.
    
    Si Marcel avait été un prédateur, il aurait pu faire d’elle son objet : là, simplement, où dans la clairière plus tôt ; il pourrait la violer, la souiller avec ses mains puissantes et la prendre comme une vulgaire prostituée. Il pourrait en faire sa chose, une chose qu’il n’utiliserait que pour son bon plaisir, qu’il souillerait à loisir ; pire encore : il pourrait même l’engrosser. A cette pensée, Suzanne transpire, elle mouille abondamment, et la légère brise vient sécher son buisson à mesure qu’il s’humidifie. Ces pensées la terrorisent. Elle en vient même à s’interroger sur leurs origines, elle qui a pourtant toujours été si prude et réservée. Elle a du mal à marcher correctement : ses jambes semblent poursuivre le chemin d’elle-même, et la belle quadragénaire manque quelques fois de tomber en glissant sur des pierres ou en perdant l’équilibre. Mais Marcel est toujours là, resserrant encore son étreinte, resserrant le contact du ...
    ... vêtement sale sur la peau qu’elle se donne pourtant tant de mal à bien entretenir.
    
    De son côté, Marcel est aux anges : Suzanne est clairement perdue dans ses pensées, et a le regard plongé dans le vide. Ses seins ballottent à vue d’œil, et de temps à autre il parvient même à apercevoir un téton ou un bout de fesse. Bien sûr, il a déjà pu admirer toute la marchandise à loisir, et il s’en donnera même encore à cœur joie ce soir, mais là, il sent le contact : il a ses grosses paluches sur sa chair, et sait très bien qu’il pourrait la prendre ici qu’elle ne se débattrait peut-être même pas ; Suzanne est dans un état second. Dans sa tête, il sait qu’il finira par la saillir, en tout cas, il ne souhaite que ça : son sexe, comprimé dans son short, lui fait souffrir le martyre, et de temps à autre, au détour d’une descente ou d’un changement de direction, il lui arrive même d’en frotter inopinément une partie sur la cuisse de la belle. Bien sûr, Suzanne le voit, mais elle n’attribue pas ça à sa volonté : Marcel n’est-il pas aux petits oignons pour elle, depuis qu’elle est arrivée ? Il ne peut pas être un prédateur sexuel, si ? La foufoune en feu, elle s’imagine à quatre pattes, offerte à ses désirs, saillie par cette masse qu’elle n’a jamais vue distinctement mais dont elle imagine les proportions. Elle tremble d’excitation, la bouche à moitié ouverte.
    
    Mais enfin, les deux compagnons arrivent à destination : Suzanne se retrouve juste devant chez elle, la tête encore dans les ...
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