1. Descente au Paradis (1)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... vas pas rester comme ça, non ?
    
    — Mais... et vous ? Vous allez prendre froid !
    
    Marcel éclate de rire :
    
    — Ecoute petite, je ne suis pas plus habillé en hiver par moins dix degrés. Et sinon, à quoi servirait une telle bedaine ? Allez, je t’attends dans la clairière, change-toi et laisse sécher tes habits ici, personne ne risque de venir te les prendre. Tu reviendras les chercher demain. Ou alors, mets-les dans ma sacoche, je la ferai sécher cette nuit près du feu.
    
    Sur ces mots, Marcel lui tend sa chemise et laisse tomber sa sacoche, avant de se diriger torse nu vers la clairière. Suzanne est rouge de honte ; elle va faire ça ? Se déshabiller, enfiler cette chemise et repartir comme ça ? Une légère brise vient la rappeler à la raison : la température n’est pas assez élevée pour sécher tranquillement au soleil. Marcel s’est éloigné, assis une cinquantaine de mètres plus loin, de dos : ça la rassure, au moins, il ne profitera pas de l’occasion pour mater. Mais Suzanne reste perplexe, n’y a-t-il pas une autre solution ?
    
    La gorge nouée par la gêne, elle regarde à droite, puis à gauche, avant de se réfugier derrière un buisson : personne aux alentours. Marcel est bien retourné, il a l’air de manger les biscuits qui étaient dans sa sacoche, et ne semble pas vouloir se retourner. Suzanne est seule, et il fait froid. Elle commence par enlever son haut, puis son short, se retrouvant en sous-vêtements en pleine nature. Elle tente d’enfiler la chemise, mais s’arrête ...
    ... quelques instants : ses sous-vêtements aussi, sont trempés. La gorge nouée, presque la larme à l’œil, elle défait son soutien-gorge et enlève sa culotte, se retrouvant la foufoune à l’air en pleine nature. Bien sûr, ça lui était déjà arrivé : une petite envie de pipi ne se retient pas, mais entièrement nue ! Heureusement, la chemise de bûcherons de Marcel est bien trop grande pour elle, ce qui cache un peu son corps ; mais elle dégage une odeur vraiment malodorante. Mais Suzanne déchante rapidement : tous les boutons ne sont pas en place, et trop peu lui permettent de tout cacher. En marchant un peu, elle se rend compte que la chemise a tendance à bâiller légèrement à l’arrière et à s’ouvrir sur son buisson, sans compter qu’elle se lève à chaque coup de vent, rafraîchissant sa croupe en passant entre ses cuisses. La belle quadragénaire est donc obligée de tenir la chemise, qui bâille du coup largement sur le devant ; pas moyen de s’en sortir dignement, en somme.
    
    Un peu honteuse et terriblement gênée par la situation, elle se dirige vers Marcel en rangeant ses affaires dans la sacoche. La sensation de l’air entre ses cuisses et terriblement nouvelle, et Suzanne a la boule au ventre : habillée de cette chemise, elle se sent sale, souillée, elle a l’impression que le vêtement la gratte de partout. Le vieil homme se retourne, mais la voyant à moitié dénudée avec un décolleté qui ferait rougir n’importe quel homme, il retourne la tête.
    
    — Au temps pour moi. Je suis désolé petite, ...
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