1. Ce soir, c'est soirée Foutre !


    Datte: 24/01/2021, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, fhhh, grp, fbi, jeunes, cadeau, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme pénétratio, Partouze / Groupe jeu, délire, Humour Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... d’agrafe qui pète…
    
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    Jeudi matin. Comme tous les jours, Andréa vient à la boulangerie où je bosse chercher le pain pour ses grands-parents. Jennifer, qui passait justement dans la rue, et venue nous rejoindre, la boutique est déserte, on tape la discute. Andréa ouvre les hostilités.
    
    — Tiens, Juliette m’a téléphoné, elle ne sait pas à quelle sauce elle sera mangée mais elle sait qu’une soirée est organisée pour elle. Par contre, comme elle sait que l’on ne va pas enfiler des perles, elle m’a dit qu’elle aurait aimé un plan hauts talons, bas et porte-jarretelles. Ça vous dit, les filles ? Ça n’a rien d’incompatible avec ce qui est prévu, il me semble…
    — Tout à fait, interviens-je. Mais ôtez-moi d’un doute, quand elle a bien dit hauts talons, bas et porte-jarretelles, elle n’a pas parlé d’autres vêtements ?
    — Non, pourquoi ?
    — Ben je ne sais pas, mais moi, ça me donnerait bien une idée, réponds-je, d’un ton passablement coquin.
    
    Le visage d’Andréa vient de s’illuminer. Quant à Jennifer, même si elle ne dit rien, son sourire entendu me confirme qu’elle a parfaitement saisi où je voulais en venir.
    
    — Oh la salope… En effet, c’est un plan d’enfer, ça ! Mais il faut surtout ne rien dire aux garçons, et leur demander de venir nous chercher avec leur bagnole…
    — Ben voyons ! Et c’est moi que tu traites de salope, réponds-je, toujours taquine.
    — Oui, ben, ça m’a échappé. Maintenant, les filles, je vais vous dire : ce n’est pas parce que je le suis ...
    ... largement autant que vous que, quoi que vous en disiez, vous n’êtes pas pour autant deux belles salopes !
    
    Andréa hausse les épaules en souriant.
    
    — Faut dire qu’elle n’a pas tort… Les trois font la paire.
    
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    Samedi, début d’après-midi. Dès que j’ai quitté mon boulot, je me suis rendu à la salle, quasiment tout le monde est déjà là, à l’exception, bien entendu, de Juliette, qui n’est toujours pas censée savoir ce qui se mijote pour elle.
    
    Kévin est le premier à m’accueillir.
    
    — On a pensé que la grande salle est vraiment trop grande pour le peu que nous serons. Par contre, la plus petite, de l’autre côté de la cuisine, nous a semblé plus adaptée.
    
    La salle en question, c’est le dojo.
    
    — On a bien réfléchi, et on a laissé les tapis sur le sol, c’est moins de boulot et on s’est dit que ce serait plus confortable si, par le plus grand des hasards, certains d’entre nous se livraient au simulacre de la reproduction.
    — Oh, ça m’étonnerait, souris-je, sur le même ton légèrement ironique, nous sommes tous des garçons et des filles sérieuses.
    
    En disant cela, je pose ostensiblement ma main sur sa braguette, et masse tout aussi ouvertement l’objet qui s’y cache. L’intéressé ne s’en offusque pas, il sait très bien ce que cela veut dire, il sait aussi qu’il ne sert à rien de s’exciter pour le moment. Ce soir, il aura tout loisir de me baiser, moi et les autres, d’ailleurs.
    
    — Cela va sans dire… Bon, on a mis des draps et des coussins aux endroits ...
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