Ce soir, c'est soirée Foutre ! - Histoires de Sexe

Ce soir, c'est soirée Foutre !

... se marrent.

— Ben, t’as qu’à faire comme Tessa…

Tessa ! Je l’avais oublié, celle-là ! Elle a une grande spécialité, et qui plait particulièrement aux garçons. Dommage d’ailleurs qu’elle soit à Londres, elle aurait fait une cinquième admirable qui aurait, à elle seule, justifié d’inviter deux ou trois mecs de plus.

— Je veux bien essayer, mais je ne l’ai jamais fait.
— T’inquiète, on va t’aider !

Alors, tandis qu’un de mes trois partenaires, resté debout, me tient la main pour assurer mon équilibre, je m’accroupis au beau milieu du salon comme si j’allais y faire un gros pipi, tandis que les deux autres s’allongent à même le sol pour ne rien manquer su spectacle.

Ça peut paraître complètement idiot, mais savoir que j’ai le regard de ces deux clowns braqués sur mon cul et sur ma chatte, cela m’excite terriblement. Alors, à leur demande, je pousse alternativement devant et derrière, et assez rapidement, au prix de quelques contorsions, j’expulse leur semence à même le sol, sous leurs cris de joie.

— Ben tu vois que ce n’était pas si difficile ! Pis y’en a un stock, tu as raison, ça marche !
— C’est ça, oui, pendant que vous y êtes, mettez-le en bouteille et vendez-le au marché ! On ne sait jamais… Bon, sur ces bonnes paroles, je vais prendre une douche.

Dix minutes plus tard, lorsque je reviens, simplement enroulée dans une serviette, je retrouve mes trois compères en caleçon. L’un est en train de nettoyer le sol des dernières traces des cochonneries ...

... qu’ils m’ont fait faire, l’autre vient visiblement de retrouver le dernier bouton de mon simili-chemisier, quant au troisième, il est tranquillement assis en train de les recoudre. Je ne sais d’où il a sorti le matériel, mais force est de constater que c’est du travail bien fait.

— Z’êtes chouettes, franchement. Vous m’avez l’air de parfaits petits hommes d’intérieur ! Pour un peu, je crois que je vous épouserais tous les trois.
— Vi, mais nous, tu comprends, nous, on n’est pas des garçons faciles. Si tu veux nous épouser, faudra nous en faire la demande à genoux, avec les fleurs, les gants blancs et tout le bazar. Et après, faudra que t’ailles demander notre main à nos mères.

Même si j’ai tendu la perche, je ne m’attendais pas à cette réponse. Y’a pas à dire, ils sont aussi bons pour raconter des conneries que pour les faire, pour mon plus grand plaisir, dois-je dire.

— C’est cela, oui ! Bon, en attendant, mes parents à moi ne vont pas tarder à rentrer, et je ne me vois pas leur expliquer pourquoi leur fille se balade dans le salon à moitié à poil et entourée de trois blaireaux en caleçon !

Puis, plus sérieusement :

— Allez, merci pour tout, mais ramassez vos affaires et cassez-vous, vous allez me foutre dans la mouise.

Bon, en fait, dans la mouise, je sais très bien m’y fourrer toute seule… Une fois prochaine, je n’oublierai pas d’aller décrocher mon soutif que ma mère a trouvé dans le lustre. Je ne sais pas pourquoi, mais elle a moyennement cru à mon histoire ...