1. Les amours interdites (1)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... une puissante berline et la position assise confortable, rendait invisible, du moins le souhaitait-il, cette excroissance qu’il ne pouvait plus résorber. Anna elle aussi venait de s’asseoir sur le siège passager. Sa jupette remontait largement sur une paire de cuisses qui n’arrangeaient en rien l’état du jeune homme. Sa bite dans le pantalon regimbait de plus belle. Le trajet s’avérait déjà périlleux, mais Anna ne se rendait compte de rien. À moins que… et cette idée soudain se fît jour dans l’esprit de Marc.
    
    Et si elle l’aguichait ouvertement ! Il ne voulait pas y croire. C’était sa mère tout de même et ce genre de relation n’avait, au grand jamais effleuré son esprit de fils sage. Le restaurant qui venait de les accueillir était une sorte de havre de paix salutaire. Tout d’abord parce que la température y devenait supportable, et puis les autres tables occupées offraient l’avantage de la foule. Se trouver isolés tous les deux au milieu de tout ce monde permettait de souffler. La serveuse se précipita pour leur remettre les cartes. Seule, celle de Marc portait les prix.
    
    Le repas fut joyeux, les plats délicieux. Plusieurs fois durant le diner, le jeune homme sentit un escarpin de sa mère venir par inadvertance frôler son pied. Une fois de plus il s’imagina soudain que cette promiscuité n’était peut-être pas aussi fortuite que cela. Préméditée ? Il se mit à l’imaginer de plus en plus. Chaque fois il retirait sa jambe, mais la chaussure revenait régulièrement. Comment ...
    ... pouvait-elle ne pas s’apercevoir qu’elle le touchait ? Tout autour d’eux des couples qui comme eux profitaient de la climatisation et ne se pressaient pas pour déguster les mets succulents servis avec zèle.
    
    À plusieurs reprises aussi, Marc croisa le regard d’hommes qui traversaient la salle pour se rendre aux toilettes. Tous sans exception venaient se poser sur le corps de sa mère. Elle attirait les yeux comme un aimant. Ces types-là bavaient presque devant la poupée qui dinait face à lui. Ils pouvaient lire dans certaines des prunelles qui le dévisageaient également, comme une jalousie inexplicable. La prenaient-ils pour une cougar ou pire ? Lui pour un gigolo ? Et devant lui, la poitrine qui montait et descendait au rythme de sa respiration était un appel permanent à la caresse.
    
    Marc avait beau intérieurement se traiter d’imbécile, de satyre, de pervers, son cerveau s’était mis aux abonnés absents. Le plus dramatique, c’était qu’il lui ramenait sans cesse, les images de ce gode délaissé, de cette bite de caoutchouc ou de latex qui devait bien avoir une quelconque utilité. Et c’était ces pensées-là qui venaient souiller, perturber son jugement. Il n’avait jamais au grand jamais vécu un pareil supplice. L’imaginaire pouvait provoquer de gros dégâts finalement. Il fut presque soulagé de quitter le restaurant.
    
    Dans la nuit qui les entourait, sur ce parking encore bien plein, la chaleur était implacable. Si le soleil n’était plus là, la terre ne se refroidissait pas ...
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