1. Les amours interdites (1)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... sur le compte du manque.
    
    Décidément, elle devait se trouver très vite un amant. Ce serait salutaire et bienvenu. Son corps réclamait depuis trop longtemps. Mais comment ne pas le montrer trop ostensiblement ? Marc n’était surement pas dupe. Elle resta encore une bonne heure allongée sur son divan d’extérieur et elle partit ensuite, se préparer pour le diner. La maison était très calme. En passant devant la chambre de Marc, elle marqua un temps d’arrêt. La porte entrouverte, elle voyait son fils assis à son bureau, le nez plongé sur l’écran de son ordinateur.
    
    Décidément ce gosse travaillait trop. Elle eut l’idée de pousser la porte puis s’avisa qu’il était toujours en slip de bain. Alors elle ne voulut pas tenter le diable une seconde fois. De plus la serviette qui contenait sa « faute » était toujours dans sa main, alors il était grand temps de passer à la salle de bain pour la nettoyer. Elle le fit consciencieusement, méthodiquement. L’objet resservirait peut-être, elle ne savait pas vraiment quand, mais il pouvait à nouveau officier. Le phallus portatif regagna sa table de chevet sans autre forme de procès.
    
    Restait donc à se vêtir ! Le dressing contenait des tas de fringues, mais faire un choix ne s’en trouvait que plus compliqué. Anna opta pour une jupe légère, pour un top tout aussi aérien et des sous-vêtements réduits à un strict minimum. Une touche de maquillage, un soupçon de gloss et elle était redevenue la bourgeoise attirante dont le miroir de l’armoire ...
    ... renvoyait une image alléchante.
    
    — Marc ! Marc, tu es prêt ?
    
    — Oui, maman, j’arrive ! Le temps de fermer mon PC.
    
    — D’accord. Tu veux bien conduire ce soir ?
    
    — Quoi ? Je n’entends rien, j’arrive.
    
    Son fils était là, dans le couloir à trois pas d’elle. Il avait lui aussi changé d’aspect. Un polo marin blanc rayé de bleu marine, et un pantalon de toile. Aux pieds une paire de baskets de cuir roux, il était d’une élégance réelle. Anna ne put s’empêcher d’admirer ce petit bout d’elle qui lui faisait face. Curieusement, les yeux féminins n’arrivaient plus à se détacher d’un endroit trop précis de l’anatomie de son fils. Ses regards restaient fixés sur la braguette et la caboche imaginait ce qui se trouvait là-dessous. Un vrai malaise pour elle.
    
    — oooOOooo —
    
    Sa mère dans le couloir des chambres avait un air étrange. Son maquillage lui donnait une lumière sur le visage qu’il n’avait jamais remarqué. En un mot comme en cent, elle était belle ! Puis au fur et à mesure qu’il la regardait, il s’aperçut qu’elle fixait un point de sa petite personne. Il crut un moment qu’il avait oublié de remonter le zip de sa braguette. Mais quand il vérifia, il comprit que ce n’était pas le cas. Alors pourquoi ses yeux de chatte s’incrustaient-ils sur ce point précis ? Un courant d’air frais parcourut l’échine du jeune homme. Cette insistance allait s’avérer désastreuse.
    
    Il se remit à respirer plus calmement seulement quand il se glissa sous le volant.
    
    La voiture de sa mère était ...
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