1. Béryl : safari sensuel au Kénya


    Datte: 01/05/2018, Catégories: f, fh, couleurs, extracon, vacances, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: JFCorto, Source: Revebebe

    ... part et d’autre du bassin de l’homme étendu. Le regard du Noir remonta sur le haut de ses cuisses, savourant à travers la forêt des mèches noires du pubis la vue de ses lèvres maintenant luisantes de son plaisir. Elle-même fixait avec avidité le mat vibrant qui pointait entre ses mollets. Pliant lentement les genoux, elle descendit son bassin jusqu’à que son intimité vienne frôler le gland. Le Noir, instinctivement, lui attrapa les hanches pour finir de la faire descendre, mais elle lui écarta sèchement les bras :
    
    — Laisse-toi faire, j’ai dit !
    
    Penaud, il laissa retomber ses mains, la laissant à nouveau saisir son sexe. Elle le frotta lentement d’avant en arrière contre sa vulve, savourant l’exquise sensation du gland qui écrasait ses lèvres délicates et irradiait son clitoris gonflé. Enfin elle le cala à l’orée de son vagin et le fit s’enfoncer dans le puits détrempé. Dur comme du bois, le membre se fraya sans souci un chemin au creux de son ventre jusqu’à disparaître à moitié entre ses cuisses, lui arrachant un long gémissement de plaisir. Elle s’arrêta un moment, se sentant déjà complètement envahie par la colonne de chair brûlante. Le Noir, haletant, fixait les lèvres bien écartées par son sexe fiché dans le ventre de la jeune femme. Mais elle voulait le sentir complètement en elle, et posant ses deux mains sur le buste du Noir pour maintenir son équilibre, elle donna de petits coups de bassin et finit ainsi de s’empaler, centimètre par centimètre, ses fesses ...
    ... s’écrasant à la fin contre les cuisses du Noir. Elle demeura immobile un instant, le souffle à moitié coupé par la masse imposante qui détendait ses parois vaginales et irradiait son ventre d’un intense plaisir.
    
    Posant les genoux à terre pour être plus confortable, Béryl commença alors à bouger lentement les hanches d’avant en arrière, coulissant sur le membre viril. Koné, délicieusement serré dans le fourreau étroit, admirait le souple balancement des masses lourdes de ses seins. Il n’en revenait pas de posséder ainsi cette femme blanche qui avait tant alimenté ses fantasmes, et qui lui semblait si inaccessible.
    
    — Va, maintenant tu peux me caresser, lui dit-elle d’une voix rauque.
    
    N’attendant que ce signal, les mains avides du Noir remontèrent sur la poitrine ballante, pétrissant sans douceur les globes élastiques, se repaissant de leur fermeté, tiraillant et pinçant les pointes turgescentes, finissant de les dresser. La rudesse de ces caresses la remua plus qu’elle n’aurait pensé et la fit se cambrer, s’offrant encore plus. Les mains du chauffeur glissèrent alors sur ses hanches puis agrippèrent ses fesses, les malaxant sans vergogne, écartant leur sillon. La croupe maintenue ainsi fermement ouverte facilitait la pénétration et Béryl accéléra fiévreusement les mouvements de ses hanches, frottant son pubis contre le bas-ventre de l’homme, électrisant son clitoris. La cyprine coulait sans interruption de son ventre labouré, rythmant de bruits mouillés les assauts virils de ...