1. Béryl : safari sensuel au Kénya


    Datte: 01/05/2018, Catégories: f, fh, couleurs, extracon, vacances, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: JFCorto, Source: Revebebe

    ... de ses seins. Ce petit jeu commençait à l’exciter au plus haut point, dardant ses tétons qui marquaient maintenant clairement le fin tissu de sa chemise de nuit. Et elle-même ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil sur le short du Noir, malgré les efforts comiques qu’il faisait pour masquer son érection monumentale.
    
    Le fin voile était maintenant remonté très haut sur ses jambes et elle desserra légèrement les cuisses. Les yeux du chauffeur s’exorbitèrent quand il découvrit sa vulve ainsi exposée, devinant même le fin dessin de ses lèvres à travers les mèches bouclées de sa toison noire. Une des bretelles de sa nuisette glissa sur son épaule, révélant une partie de son sein, le tissu n’étant plus retenu que par sa pointe maintenant bien dressée, dévoilant le départ de son aréole un peu grumeleuse.
    
    C’était la première fois qu’elle s’exhibait ainsi, sciemment, devant un homme et sa respiration se fit haletante. L’ambiance devint électrique et Béryl, prise à son propre jeu, se rendit compte qu’elle n’attendait plus qu’une chose, qu’il glisse sa main sur ses cuisses. Mais une sorte d’atavisme semblait empêcher le Noir de prendre l’initiative, de porter la main sur le corps de cette femme blanche pourtant offert sans retenue.
    
    Béryl, jusqu’à présent, avait toujours laissé les hommes prendre l’initiative, lui permettant ainsi de masquer ses pulsions sexuelles derrière une passivité qui l’exonérait d’assumer complètement ses adultères. Mais là elle sentit qu’elle ...
    ... devait prendre les devants si elle voulait que le jeu aille plus loin. Et c’est bien ce que son corps réclamait, pour calmer le feu qui lui faisait tremper son sexe.
    
    — Je prendrais bien une autre tisane, murmura-t-elle d’une voix rauque.
    — Euh, oui madame, fit le Noir, levant avec peine les yeux toujours fichés sous sa chemise de nuit, et il se dirigea vers la cuisine.
    
    Comme une automate, Béryl se leva également pour le rejoindre dans la tente. Koné, affairé devant l’évier, sentit sa présence derrière lui et se retourna. Béryl, les yeux brillants, fit alors glisser les deux bretelles de sa nuisette qui tomba à ses pieds, révélant ses courbes sensuelles. Le Noir, affolé par la proximité de ce corps dénudé, les yeux rivés sur la poitrine épanouie, balbutia :
    
    — Ah non madame, il ne faut pas…
    — Chut, laisse-toi faire ! souffla Béryl.
    
    Lui posant une main sur la bouche comme pour le faire taire, elle plaqua l’autre sur son short, manquant de défaillir quand elle sentit la masse prometteuse se gonfler encore plus. D’une main experte, elle libéra le membre imposant qui bondit, palpitant contre sa paume. Le Noir, les bras toujours ballants, gémit quand elle entoura son sexe des ses doigts fins, qu’elle commença à branler la tige sombre, décalottant le gland turgescent. Elle lui prit la main et la guida vers son sein. Il resta quelques instants immobile, hébété, paume plaquée sur le globe plein, semblant ne pas croire à ce qui lui arrivait. Mais bientôt sa main s’anima et se ...
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