Les Templiers - Épisode 1
Datte: 23/01/2021,
Catégories:
fh,
fsodo,
historique,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... vigueur, n’hésitez point à l’emboucher.
— Vous n’y pensez pas ! C’est là affaire de putain !
— Point du tout. Plaisir simplement. Et vous serez étonnée de l’empire que vous pourrez ainsi acquérir sur lui. Il n’y a pas d’homme qui ne résiste à pareille caresse. Mais il y a maintes autres choses dont il faudra que vous entretienne. Et sans que cela contrevienne à votre honneur.
Elle regarde son gentil mari, un brave garçon qui semble victime du sort. Elle va en faire un homme ; alors timidement, maladroitement, elle caresse ce bout de chair molle, avec tendresse, avec patience. Elle fait coulisser le membre dans sa paume, fait rouler la peau sous ses doigts, décalotte le gland, tend la chair et caresse du pouce et de l’index cette peau si fine, si douce. Et la chose se dresse peu à peu, commence même à se cabrer. Elle la regarde, l’embrasse. Doucement, elle écarte les lèvres, rentre les dents pour ne pas le blesser. D’abord le bout puis lentement, très lentement le tout, jusqu’à ce que les poils du pubis viennent chatouiller ses narines. Elle le ressort, aspire un bol d’air et l’avale à nouveau. C’est rond et c’est chaud. Étonnant de voir comment cela prend du volume sous sa langue. Une petite langue pointue qu’elle agite et tourne en tous sens. Longtemps, elle fait osciller sa tête d’avant en arrière, dans un langoureux va-et-vient, tout en s’aidant de ses mains. Et il commence enfin à pousser des gémissements, puis des râles déchirants.Il vient, ça y est, il vient, ...
... pense-t-elle.
Elle le suce franchement maintenant, le garçon a posé ses mains sur ses tempes et commence à donner des coups de reins. Désordonnés, mais vigoureux. C’est lui qui désormais baise sa bouche. C’est comme une digue qui aurait rompu, libérant un fleuve furieux, emportant tout. Il s’enfonce de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle s’étouffe à moitié avec sa verge qui lui emplit la bouche et la gorge, elle sent la salive couler le long de ses joues alors qu’une vague commence à irradier son bas-ventre et tremper ses cuisses. D’instinct, elle comprend qu’il faut cesser. Elle recule prestement, laissant échapper le membre de sa bouche. Et elle ne peut s’empêcher de crier de surprise.
C’est gros, très gros. Et pas seulement. Stupéfait, le garçon regarde son membre qui se dresse maintenant sur une longueur d’au moins dix pouces. Il est luisant de bave et une goutte crémeuse perle à son extrémité. Elle pose le doigt dessus et il frissonne de tout son corps. Pas question de flancher. Cet étalon, elle va le dresser. D’une poussée tendre, mais ferme, elle l’allonge sur la couche nuptiale. Le nigaud la regarde d’un air affolé. Il tremble de tous ses membres. Il a peur. Va-t-il débander ? Sans hésiter, elle l’enfourche et s’allonge sur lui ; d’une main encore un peu hésitante, elle saisit le vit brûlant et le dirige entre ses cuisses, là où un brasier la dévore. Feu contre feu. Elle se mord les lèvres en sentant le gland écarter ses chairs moites.C’est trop gros, ...