Je remplace ma collègue Sophie (2) - Histoires de Sexe

Je remplace ma collègue Sophie (2)

... après je sentais son sexe érigé qui se promenait le long de la raie de mes fesses. Ses mains avaient saisi ma taille et son sexe se positionnait tout seul à l’entrée de ma rondelle. Quand il a passé le rempart de mon sphincter, j’ai poussé un petit cri mais en aucun cas ce n’était la douleur, je dirais plutôt que c’était de la surprise. Maintenant je sentais son sexe coulisser centimètre par centimètre dans mon boyau, j’avais l’impression que son sexe était immense, tellement il a mis de temps à m’embrocher jusqu’au bout.

Ses boules tapaient maintenant contre les miennes, il me possédait et j’étais à lui; maintenant mes hanches il ne s’y agrippait plus mais me les caressait. Gilles s’y prenait vraiment très bien pour me donner du plaisir, je n’avais pas souffert une seconde de sa pénétration. Je venais de perdre mon pucelage tout en douceur, je souhaite à toutes les personnes qui se font dépuceler d’avoir un partenaire aussi doux que mon patron l’est avec moi. Gilles allait et venait en moi et il me donnait du plaisir, un plaisir insoupçonné, un plaisir inavouable. Je ressentais désormais ce subissait ma femme, quand je passais par l’issue de secours. Le plus beau c’est que maintenant mon érection n’était plus du à ses caresses,, mais à son va et vient dans mon intimité.

— Tu es bonne ma chérie

— Dans quelques instants je vais te féconder

— Tu vas devenir ma soumise offerte que je pourrais honorer quand je le désirerais.

— Sophie avait raison, tu as un petit ...

... cul de rêve qui donne des sensations formidables.

Pendant qu’il me parlait, il donnait des coups de reins de plus en plus puissant et je sentais son sexe grossir en moi.

À ma grande surprise j’étais en train de constater que moi aussi j’allais jouir mais je ne savais pas qui allait partir le premier. J’allais prendre mon pied pour la première fois de ma vie, alors que je me faisais prendre par-derrière pour la première fois de ma vie aussi. Quelques minutes passèrent et j’ai fini par éjaculer, j’ai fait en sorte de jouir discrètement pour ne pas attirer l’attention de mon étalon. Quelques instants plus tard, je sentais mon mâle se contracter et commencer à me balancer de longues giclées de semence tout au fond de moi. Il me tenait très fermement par la taille et ses coups de reins étaient maintenant hyper puissants, il me faisait un bien fou. Jamais je n’aurais cru que je prendrai un tel plaisir à me faire saillir, bien évidemment j’étais en train de prendre des photos. Quand il a constaté que j’avais éjaculé abondamment sur la porte du placard de l’évier, il m’a demandé de nettoyer avec l’éponge qui se trouvait au-dessus.

— Décidément tu es une salope insoupçonnée.

— Jamais je n’aurais cru que je prendrais tellement de plaisir à ce que l’on parle de moi au féminin.

Ça y est mon patron venait de me dépuceler et à ma grande surprise cela ne lui avait pris qu’une demi-heure. Il n’y a pas à dire le résultat de l’esthéticienne l’a carrément excité. Il a continué à me ...