Je remplace ma collègue Sophie (2) - Histoires de Sexe

Je remplace ma collègue Sophie (2)

... réveillé une femelle qui dormait en moi et dont j’ignorais l’existence, je ne sais pas ce qu’il pensait de moi mais il devait se dire que j’étais bonne à baiser sur-le-champ. Pendant qu’il me caressait mon entre jambes, ainsi que les cuisses, il m’a fait savoir son impatience à ce que j’aille chez l’esthéticienne. J’étais maintenant en train de réaliser ce que voulait dire Sophie quand elle m’a demandé de prendre sa place. Il ne lui a fallu que quelques minutes pour me balancer sa purée au fond de la gorge pour la deuxième fois de la journée.

Décidément pendant la pause-déjeuner désormais j’allais prendre goût à la liqueur de gland, ce matin je n’avais jamais touché ni sucé un homme et ce midi j’en étais déjà à ma deuxième turlutte. Je vais vous avouer que finalement ce n’était pas si désagréable et je commençais déjà à regretter que notre heure de repas soit sur le point de prendre fin. Gilles n’a pas arrêté de prendre des photos et maintenant il était en train de me balancer les dernières giclée de sa semence. J’ai continué à le sucer un peu pour la forme, car je sais que ces derniers mouvements sont les meilleurs pour un homme. Quand il a estimé que cela était fini, il m’a saisi la tête pour me faire lâcher son sexe, à ma grande honte je n’arrivais plus à m’en défaire.

— Je suis désolé mais il va falloir que tu te rhabilles, car il va être l’heure de reprendre le boulot.

— Ne t’inquiète pas en l’absence de Sophie, nous allons faire ça très souvent et tu ne pourras ...

... plus t’en passer.

Dans sa première phrase je sentais un peu d’ironie de sa part, dans la deuxième, je sentais le programme pour les semaines à venir.

Pendant que j’étais en train de me rhabiller, Gilles était en train d’envoyer des photos de moi à ma collègue, il va de soi que ces photos étaient très intimes et peu flatteuses. Je me sentais désormais, un moins que rien à ses yeux, mais peut-être une grosse cochonne bonne à lui donner du plaisir quand il le désirera. Je savais qu’il allait aussi me masser le dos avec insistance, avec le regard complice de Sophie. J’étais un peu gêné, car il fallait que je me lave les dents, mon petit doigt me disait que je devais avoir une haleine au sperme; à défaut d’avoir ma brosse à dents, j’ai utilisé celle qui était sur place. A l’heure voulue, j’ai repris place à mon poste en essayant de faire le vide dans ma tête car j’étais quand même un peu perturbé par ce que je venais de vivre durant ma pause déjeuner; C’est alors que le téléphone a sonné; c’était Sophie, ma collègue qui m’avait offert à notre patron, elle venait aux nouvelles.

— Salut mon Franck, comment s’est passé ton premier tête à tête avec Gilles?

— C’est moi qui t’ai acheté la robe sur ses consignes; je t’ai trouvée très belle dedans.

— C’est moi aussi qui ai posé le rendez-vous chez l’esthéticienne, car je sais qu’il aime caresser une peau douce.

— sache que cela fait longtemps que tu lui as tapé dans l’œil et qu’il te désire.

J’écoutais ma collègue se ...