Je remplace ma collègue Sophie (2) - Histoires de Sexe

Je remplace ma collègue Sophie (2)

... confesser, cela avait plus tendance à m’exciter qu’autre chose; il n’y a pas à dire, l’opération avait été savamment manigancée. Elle ne me laissait pas le temps de parler, elle me racontait tout plein de choses.

— Je ne peux pas tout te dire, mais tu as la majeure partie des informations maintenant.

Avec cette phrase Sophie était en train d’attirer mon attention, je n’ai pas osé demander plus de détails car je savais que je n’en aurais pas. Pendant la journée j’ai croisé à plusieurs reprises le regard de mon chef, je peux vous garantir qu’il ne me regardait plus comme avant. J’avais l’impression qu’il me regardait plutôt comme il observait Sophie avant de l’emmener dans sa garçonnière. L’heure de quitter le boulot était en train d’approcher et je vais vous avouer que j’étais quand même pressé de rentrer. Au moment de partir Gilles m’a rappelé qu’il avait pris rendez-vous pour moi le lendemain chez l’esthéticienne pour un "dépoilage" en règle. Voilà comment je suis rentré à la maison avec plein de Secret dans la tête que je ne pouvais divulguer à ma femme Marie.

Arrivé à mon domicile, j’ai fait comme si de rien n’était, ma belle m’a demandé comment c’était passée la journée, je lui ai répondu que c’était une journée on ne peut plus commune. La soirée s’est passée de la façon la plus banale jusqu’au moment où nous nous sommes couchés, là elle m’a fait constater que je n’avais pas la même culotte que quand j’étais parti ce matin. Là je lui ai inventé un gros bobard ...

... en lui disant que je m’étais fait un petit plaisir en allant m’acheter une petite culotte. En fait la culotte, que j’avais pendant que Gilles s’était occupé de moi, était toute trempée de sa salive et il m’en avait proposé une toute aussi douce et sexy pour que je puisse travailler et rentrer avec les fesses au sec. Là à ma grande surprise, elle m’a dit que j’étais un gros baratineur, et qu’elle savait exactement ce qui expliquait le fait que j’ai une culotte différente.

— Ce n’est pas la peine de me raconter des bobards, Gilles m’a tout raconté.

— En fait depuis notre dernier repas tous les six, Gilles Muriel Sophie et moi avons tout prévu.

— À cette occasion, Gilles m’a confié que tu étais fort à son goût.

— Je vais t’avouer que sur le coup j’étais un peu sur le derrière, mais après je me suis dit que cela ne pourrait que te plaire.

Je ne savais plus où me mettre, j’étais sans voix, je me sentais trahi par tous mes proches.

— Ne t’inquiète pas, je ferai toujours attention à ce qu’il ne te fasse pas de mal.

— Rappelle-toi les fois où je t’ai fait essayer mes robes, tu avais l’air de beaucoup apprécier.

Marie m’a pris dans les bras pour me câliner ou peut-être me consoler, je ne savais pas trop, toujours est-il que sa tendresse à mon égard était vraiment réconfortante. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais ce soir-là nous avons fait l’amour comme des fous, par contre la différence c’est que Marie contrôlait encore plus les événements que d’habitude. ...