Vilaine maman
Datte: 22/01/2021,
Catégories:
fh,
groscul,
hsoumis,
fdomine,
vengeance,
confession,
hsoumisaf,
Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe
... s’écarte une fesse et, d’un geste plein de maîtrise, elle entreprend alors de se frotter la vulve avec ma queue. Je ne sais plus où j’habite. Elle se branle avec ma queue ! Elle me graisse le gland et toute la tige. Elle fait une drôle de tambouille… Penchée en avant, les fesses en l’air, impudique, elle prépare son joujou.
Je voudrais la prendre par les hanches immédiatement et m’enfoncer en elle jusqu’à la garde, mais les instructions ont été clairement formulées. Je ne suis pas censé prendre d’initiative. Je la laisse mener sa petite affaire. Jugeant le moment opportun, Marie entame alors sa lente et voluptueuse descente. Pour ponctuer chaque centimètre gagné sur sa victime, elle lâche de petits « Oh… » de satisfaction. Arrivée à destination, elle se libère d’un « Aaaah ! » plus fort et salvateur, bouche grande ouverte, tête penchée en arrière et en fermant les yeux. Elle m’a gobé tout entier. Elle savoure.
Elle est maintenant bien assise. On profite de cet instant de calme pour récupérer de nos émotions. Les fesses de Marie s’écrasent sur mes cuisses. Osant un premier geste, je passe les mains dessus et, tendrement, je les câline avec tout le respect qui leur est dû. Encouragée par la douce impulsion de mes caresses, Marie se met à onduler du bassin. Puis, petit à petit, elle reprend de l’élan et commence à soulever son derrière pour le faire retomber de plus en plus lourdement sur moi. Elle se met tout ce qu’elle peut.
Je sens qu’elle réclame plus de rudesse. ...
... Pour répondre à ses désirs, je m’agrippe à ses hanches et je l’aide à rebondir sur moi plus régulièrement. Et surtout plus franchement. À chaque coup, elle m’avale entièrement. À chaque coup, ses belles et lourdes fesses viennent s’écraser sur moi en faisant du bruit. À chaque coup, elle pousse un cri.
La chevauchée s’emballe. Marie a du mal à contenir ses émotions et use encore de quelques expressions salées pour m’encourager à poursuivre dans cette voie plus brutale. Compte tenu des circonstances, je lui pardonne bien volontiers ses nouveaux écarts de langage, mais ils font encore monter la tension et, à la vitesse où nous allons, je ne me donne pas plus d’une minute à vivre. On fornique sans modération et sans trop de finesse, avec un objectif commun totalement assumé. Nous savons exactement où nous voulons aller.
« Et toi Marie ? Combien de temps te reste-t-il à vivre ? »
Soudain, nous ralentissons. Les coups et les mouvements se font plus lents, plus saccadés, plus profonds, plus définitifs. Je vais jouir. Elle le sait et dit : « Vas-y ! » Il ne m’en faut pas plus. Au moment où part le premier jet, Marie se met à jouir aussi. Pendant que je me vide en elle, parfaitement vissée sur mon sexe, elle active son bassin d’avant en arrière en se frottant sur moi comme une forcenée. Les muscles de son vagin se contractent sur mon sexe. Elle aspire tout avec voracité. Elle ne veut pas que ça se termine. Comme une machine, elle répète « Oui, oui, oui ! ». Et à son tour, elle ...