1. Le chantier des Pyrénées


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fhhh, hplusag, hagé, couleurs, inconnu, grossexe, poilu(e)s, vacances, piscine, campagne, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Béa24, Source: Revebebe

    ... pantalons, l’effet que j’avais produit ! J’en rajoutai un peu en me déhanchant plus que nécessaire lors de la montée du chemin, et tout en m’enlaçant vicieusement pour bien faire monter la pression aux malheureux ouvriers, j’avouai à mon ami que de sentir leurs regards brûlants sur mes fesses me faisait mouiller comme une folle… Il me fit remarquer en riant que ce n’était pas bien d’exciter des hommes qui ne devaient pas avoir de femmes depuis pas mal de temps et que cela pouvait être également dangereux ! La perspective d’un viol me fit, au contraire, éclater de rire !
    
    En très peu de temps, effectivement, nous arrivâmes au bout du chemin, nous admirâmes une dernière fois la vue splendide et, après quelques minutes de contemplation, nous entreprîmes de redescendre.
    
    Après avoir fait faire demi-tour à la voiture, nous fûmes surpris de ne pas apercevoir les ouvriers, mais il est vrai que les heures légales de travail étaient passées, nous n’avions pas fait attention au temps.
    
    Lorsque nous arrivâmes à l’autre bout du chantier, le bulldozer était engagé sur le chemin du retour et il nous était impossible de passer ! Laissant la voiture, nous descendîmes jusqu’aux baraquements aperçus à l’aller.
    
    Les trois hommes étaient devant l’un d’eux et buvaient l’apéritif en discutant, nous nous approchâmes pour leur demander de déplacer le bulldozer, ils rigolèrent et nous proposèrent de boire l’apéritif avec eux. Mon ami commençait à être un peu inquiet par cette situation, mais ...
    ... pas moi, au contraire je souris… Ce qui encouragea les hommes ; le trapu et un des Arabes se levèrent, me prirent chacun par un bras et m’entraînèrent vers la table de fortune composée d’une planche sur deux tréteaux, et le trapu me fit asseoir à côté de lui sur la caisse qu’il occupait un instant plus tôt.
    
    Un des Arabes remplit des verres avec des rasades de pastis impressionnantes ; le moins que l’on puisse dire c’est que nous n’avions pas affaire à des musulmans ! Très vite, je me mis à rire pour un oui pour un non. J’étais de l’autre côté de la table avec l’autre arabe, qui se baissait sans cesse pour voir le spectacle que je lui offrais : cuisses entrouvertes qui laissaient bien visible mon string qui moulait les lèvres de ma chatte !
    
    Très vite, le trapu, Pablo, avait posé une de ses grosses pattes velues sur mon cou et avait tendance à descendre vers mes seins et l‘autre sur le haut de ma cuisse. Moktar, lui non plus, n’avait pas perdu de temps et s’étant accroupi à côté de moi, m’avait mis la sienne également sur ma cuisse, très près de mon string. Je fis ma chatouilleuse et en profitai pour me cabrer, faisant saillir mes seins, cambrant les fesses, ouvrant et refermant les jambes. Les mains des hommes en profitèrent pour prendre possession d’autres parties de mon corps, bas du dos, sur ma croupe tendue. Pablo avait réussi à défaire un peu plus le haut et maintenant, lorsque je bougeais ou me cabrais, un sein sortait, pointe dressée. Les hommes bandaient ferme, ...
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