1. Le chantier des Pyrénées


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fhhh, hplusag, hagé, couleurs, inconnu, grossexe, poilu(e)s, vacances, piscine, campagne, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Béa24, Source: Revebebe

    Rappel :
    
    Je m’appelle Béa, je suis blonde et plutôt mignonne ; je vis à Montpellier, j’ai 24 ans et mon ami 62.
    
    Après ma précédente aventure (voir : « Panne et agréable dépannage »), j’ai rejoint mon ami dans un petit village des Pyrénées, et à qui j’ai évidemment raconté mes « déboires », ce qui l’a terriblement excité…
    
    Le lendemain, nous nous promenions dans les environs, nous venions de traverser un tout petit hameau et nous nous dirigions vers un barrage, une retenue d’eau et un joli paysage à voir, nous l’espérions…
    
    En arrivant à un petit pont, nous vîmes des bâtiments abandonnés et des petits baraquements. Nous hésitâmes ; il y avait la petite route amenant au barrage et une autre en moins bon état qui s’élevait elle aussi vers un endroit sympathique, nous sembla-t-il. Dans un premier temps, nous décidâmes d’aller jusqu’au barrage, comme prévu, et au bout de quelques kilomètres enfin le barrage, et la route très vite se termina en cul-de-sac…
    
    Après avoir admiré longuement le paysage, nous redescendîmes afin d’aller emprunter notre deuxième route. Arrivés de nouveau au petit pont, nous empruntâmes la route qui, par rapport à l’autre, était en piteux état. À un tournant, de nouveaux baraquements et un chantier avec un bulldozer et une camionnette, chantier qu’il nous fallait traverser pour continuer notre chemin.
    
    En roulant très lentement, à cause de la route et du bulldozer, nous approchâmes du groupe. L’engin, encore plus impressionnant vu de ...
    ... près, stoppa, son conducteur, un brun trapu, en descendit et vint vers nous avec deux ouvriers nord-africains.
    
    Nous nous demandions si l’endroit n’était pas interdit, nous n’avions pas fait attention à d’éventuels poteaux indicateurs. Je dis alors avec un sourire enjôleur d’avancer et qu’on allait leur demander gentiment si on pouvait passer pour aller se promener ; en même temps, je remontai ma robe déjà courte de manière à laisser entrevoir mon string et fis sauter deux boutons de mon haut que je portais sans soutien-gorge…
    
    Je leur fis un signe, joyeusement, en agitant la main et ils vinrent naturellement de mon côté. Lorsqu’ils se penchèrent vers la portière, bouche bée, les yeux allant de la poitrine offerte à l’entrecuisse moulé par mon string… Et moi, coquine, qui tout en discutant m’agitais, fermais et ouvrais mes cuisses. En me tournant pour attraper la carte sur la banquette arrière, un de mes seins faillit jaillir hors du vêtement, le téton dardé resta, lui, bien visible ! Le trapu et poilu comme un singe, qui paraissait être le chef, après avoir avalé sa salive et s’être raclé la gorge nous conseilla d’avancer et de laisser la voiture juste à l’amorce, en amont du chemin, car celui-ci était vraiment impraticable, et qu’il se terminait dans quelques mètres.
    
    Nous écoutâmes ses conseils et laissâmes la voiture à l’endroit indiqué. Lorsque je descendis du véhicule, la courte distance nous séparant des ouvriers me permit de voir, aux bosses caractéristiques des ...
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