Kt1 - Histoires de Sexe

Kt1

... d’ailleurs la première chose que nous ayons faite, une fois son contrat signé. Elle en a aux tétons et elle possède aussi quatre anneaux à la chatte, aux grosses lèvres précisément, deux petits en haut, et deux plus gros plus bas. Plus un autre au capuchon du clitoris.
— Aussi au clito ?
— Au capuchon, la petite peau qui recouvre le clitoris. C’est d’ailleurs une torture divine quand celui-ci frotte sur ton petit bouton, n’est-ce pas, ma pute ?
— Oh oui, Maître !

Je compte intérieurement, deux en haut et cinq plus bas, ça fait sept piercings d’un seul coup. Ces deux-là n’y ont pas été de main morte ! Je suppose qu’il faut dire « les deux », car je présume que cette femme a eu son mot à dire, même si elle a signé un contrat, comme Dominique l’a dit. Sachant que ce n’est pas une mince affaire que d’avoir le corps transpercé, un peu curieux, je demande :

— Avec tout ça, il n’y a pas eu de problème de cicatrisation ?
— Pendant quinze jours, il a fallu faire attention. On m’avait prédit des délais plus longs, certains parlaient d’une moyenne de trois mois pour les seins, mais ça a été nettement plus vite que prévu. Kt1, fais donc mieux voir tes piercings à la chatte !
— Oui, Maître.

Et sans aucune pudeur, elle écarte les jambes, projetant son bassin en avant. Prenant ses anneaux entre ses doigts vernis de rouge, elle écarte ses lèvres, et je peux constater en effet quatre anneaux rivés à l’orée de sa chatte et un autre plus petit niché plus haut. Ça a son charme, un ...

... charme étrange, mais excitant. Je me dis que Dominique a bien fait d’oser faire paraître une telle annonce !

Après avoir bien maté, je me penche vers mon ami pour lui demander, en catimini :

— Ta docile découverte, elle a un prénom ?
— C’est Kt1, c’est tout.
— Un vrai prénom, je voulais dire…
— C’est désormais son vrai prénom, ainsi que tous les autres mots du même registre…
— Ah… OK…

Je pensais qu’il se cherchait une compagne de vie, je constate qu’il a trouvé un peu plus… Et même un peu trop que plus… Soudain, mon hôte s’adresse à sa soumise dans une langue inconnue, tout en articulant distinctement :

— Mikum kwo denkaas, sales ?
— Povaam, mikos mul mikaam, Samym.

Je n’ai strictement rien compris, pourtant, suite à mon métier et ses chantiers européens, j’ai des rudiments quelques langues européennes, comme l’anglais, l’allemand, l’italien, l’espagnol, le portugais et même un zeste de polonais et de tchèque, mais là, je suis perdu. Ce n’est même pas de l’espéranto ! Suite à la réponse de sa soumise, un certain sourire s’affiche sur le visage de Dominique. Il poursuit en français :

— Ah oui, Corentin, un point de détail important, le safeword.
— C’est quoi, ce truc-là ?
— C’est le mot qui arrête le jeu. Si ma soumise prononce « Kali » alors quoiqu’il se passe, tout doit s’arrêter sur-le-champ. En clair, c’est le mot de sécurité, car Kt1 est une soumise, pas une esclave.

Intrigué, je demande des précisions :

— Kali ? Pourquoi ce mot ?
— C’est ...