Jackie : Partie 01 - Histoires de Sexe

Jackie : Partie 01

... magnifiques. Je passe subtilement mes mains sur mes seins couverts par l'épais peignoir pendant que les femmes sont occupées à ma chevelure et que personne ne regarde dans ma direction. Je sens que mes seins sont légèrement douloureux et tout aussi légèrement plus gonflés, particulièrement les aréoles. J'ai l'impression qu'ils ont la forme d'une poire. Je sens ma queue se gonfler. J'essaie de penser à autre chose.

Je sens ma chevelure devenir pesante. Les deux femmes travaillent silencieusement et efficacement. Après un long moment, une des femmes va s'occuper d'une autre cliente. Celle qui reste me fait un brushing après m'avoir mouillé à nouveau les cheveux.

Je suis bouche bée quand finalement je peux me voir debout devant une glace. J'ai de longs cheveux ondulés qui me vont aux fesses. Ils ont une couleur rousse flamboyante et lumineuse. Je remarque à peine mes lèvres nouvellement pulpeuses. Je sens ma queue gonfler à nouveau. Je me trouve magnifique. La coiffeuse caresse mes cheveux. Elle semble apprécier son œuvre.

— Il ne vous manque qu'un peu de maquillage...

Paige arrive et coupe la parole de la coiffeuse.

— Tu es magnifique ma chérie! Une vraie beauté fatale. Viens, on doit faire vite pour ne pas manquer notre heure de départ de l'hôtel.

Encore une fois, je me sens pris dans un tourbillon. La propriétaire me maquille pendant que Paige m'observe. Cela ne dure que quelques minutes. Puis Paige m'entraine dans une cabine sans attendre que je puisse voir ...

... le résultat. Elle m'aide à m'habiller. J'ai à peine le temps d'observer la nouvelle forme de mes seins. Puis elle me prend par ma main et m'entraine à l'hôtel.

Nos achats sont pour la plupart déjà rangés dans des sacs qui sont près de la porte. Un sac de sport qui contient nos effets personnels est placé à côté des sacs. Un ensemble m'attend sur le lit. Paige m'entraine à la toilette où elle m'aide à me déshabiller. Son aide est appréciée puisque mes ongles me gênent. Une fois entièrement nue, elle me fait un nouveau lavement. Ma queue dure dégoute tant la situation m'excite.

— Avoue que tu aurais aimé qu'Édouard te baise hier. Tu aurais aimé qu'il te remplisse comme je t'emplis, comme il m'a empli hier.

Je rougis, mais je ne lui réponds pas.

— Avoue... Tu aurais aimé qu'il te regarde en jouissant en toi. Tu aurais aimé te sentir impuissante, sous son contrôle.

— Peut-être...

Paige me fait un grand sourire et elle place une main sur ma queue dure.

— Souviens-toi d'hier. Souviens-toi comment j'allais chercher ton affection... avant... Soit comme cela. Ouvre-toi. Offre-toi. Rends-toi vulnérable.

Je ferme les yeux. Je me sens près d'un nouvel orgasme. La sensation de mes cheveux qui caresse le bas de mon dos et le début de mes fesses est fantastique. Je passe mes mains sur mes seins un peu plus gonflés, un peu plus féminins. Je frémis. Paige m'essuie. Puis elle m'entraine dans la chambre après m'avoir parfumé.

Elle m'aide à mettre des bas de fine soie ...