Jackie : Partie 01 - Histoires de Sexe

Jackie : Partie 01

... me faire un sourire et me souffler quelques mots.

— Bon matin ma chérie.

Je lui fais remarquer que je trouve étrange qu'elle me parle au féminin pendant que je suis en elle avant de lui demander où sont nos invités d'hier.

— Avoue que tu as toujours eu le fantasme d'être une femme.

— C'est vrai... mais...

— Avoue que tu as aimé cela hier. Édouard m'a dit tantôt que vous avez eu du plaisir cette nuit ensemble et je n'ai pas eu à insister beaucoup pour que tu lui tailles une pipe. Tu l'as même laissé venir dans ta bouche. Avoue...!

Paige est toujours couchée sur moi et mon pieu est encré dans ses profondeurs chaudes et humides. La sensation est très agréable. Elle continue avant que je ne puis lui répondre.

— Depuis que nous sommes ici, tu souris, tu ris plus, tu sembles heureuse.

— C'est vrai que...

— Laisse-moi finir!

— Ma chérie tu es belle comme tu es, je t'aime comme tu es.

— Tu me trouves vraiment belle comme cela... sans aucun fard.

Elle m'offre un sourire radieux.

— Ha! Que tu me rends heureuse ! Je comprends. Oui, tu es belle chérie. Tu as une belle petite queue, un gros clitoris, mais sinon, tu es à cent pour cent une femme. Tu n'as pas besoin d'être maquillée pour être belle. J'ai toujours vu la femme en toi. Laisse là sortir. Qu'en dis-tu?

— Oui.

— Es-tu prête pour une dernière journée en ville?

— Bien sûr.

— Et je peux encore décider pour toi?

Je dépose un baiser sur ses lèvres en guise de réponse.

— Viens ...

... alors, on n'a pas de temps à perdre. Je t'aime!

Paige se lève laissant ma queue droite et luisante. Nous avons ri toutes les deux en prenant notre douche. J'ai appris que Dalia et Édouard ont quitté la suite il y a moins d'une heure après avoir baisé simultanément Paige qui a maintenant un fondement douloureux. Je suis un peu jalouse et je lui dis ce qui semble lui faire plaisir. Elle m'aide à me maquiller sommairement avant que nous quittions tôt l'hôtel le ventre vide.

Nous arrivons au salon d'esthétique à sept heures trente. Le salon semble fermé, mais dès que nous nous approchons de la porte la propriétaire apparait. Elle vient nous déverrouiller. Le salon est baigné par la lumière du matin. Dans le fond, je vois une porte qui laisse échapper de la lumière vive. La propriétaire nous entraine dans cette direction. Elle s'arrête au seuil de la porte et me retient pendant que Paige pénètre dans la pièce.

— Je vais vous revoir tantôt pour les dernières petites retouches.

Elle me fait la bise et me pousse dans la pièce. Dès que j'entre, j'ai l'impression d'être ailleurs, dans un hôpital. Tout est blanc, immaculé. Au centre de la pièce, il y a un lit articulé. Au-dessus il y a une série de lampes puissante. Il y a une odeur d'antiseptique. Paige est assise près d'un homme qui porte une blouse un masque et des gants. Une femme habillée de façon semblable s'approche de moi.

— Bonjour madame. Si vous voulez bien me suivre.

Elle me guide vers le lit sans me toucher. ...