Ma première fois ! (1)
Datte: 19/01/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... parler puisque notre baiser dure encore et encore. Je suis certaine que la pointe de mon sein est durcie par les doigts qui la pincent doucement. Mon dieu, comme mon ventre crie et réclame une caresse lui aussi. Mais comme j’ai peur de ce moment-là aussi. Pourquoi suis-je venue à ce rendez-vous ? Papa, Maman, au secours, dites-moi ce que je dois faire. Céder aux avances de cet homme, m’enfuir ou lui demander d’arrêter tout simplement ?
Je n’ai plus le choix. La main de ma poitrine vient de descendre vers mon entrejambe et elle ouvre doucement le compas que je tenais fermé jusque-là. Je sens déjà la patte qui rampe sur l’ourlet de ma jupe, la remontant doucement comme par mégarde. Dans ma bouche, la langue qui s’emmêle avec la mienne continue de semer la confusion. Ma tête, mon esprit sont complètement débranchés, déconnectés d’une réalité qui m’ensorcèle. Les doigts m’électrisent et commencent à remonter le long de l’élastique de ma culotte, pressant au passage sur la fente qu’ils devinent sous le fin voilage.
Jean-Marc soulève tranquillement ce chiffon, hypothétique rempart de ma féminité et je ne dis rien, je laisse faire. Ça y est, la main glisse sous le tissu et elle frotte sur toute la longueur de mon pubis qui me semble enflé. Un doigt vient d’entrouvrir les deux lèvres qui le laissent passer. Notre baiser est toujours aussi actif et il m’emporte dans un univers de couleurs que je ne connais pas. Je ne résiste pas. Comme c’est bon d’être caressée. J’adore ces ...
... phalanges qui montent et descendent gentiment sur mon abricot doré, chaque passage sur mon clitoris m’arrache des soupirs.
Il me semble que je fonds littéralement, à commencer par mon bas-ventre qui est en incandescence.
Finalement, notre baiser prend fin et Jean-Marc prend de sa main libre mon poignet, le guide sur son torse, le fait aller à l’endroit où il désire que ma main aille. Sur la toile du pantalon, dirigée vers le bas de son ventre, je sens cette chose qui est dure. C’est la première fois que je touche une verge d’homme ; même si pour le moment elle est encore inaccessible à mes doigts.
Quand il est sûr que j’ai saisi ce qu’il voulait que je fasse, il lâche mon poignet. Je frotte ma main sur la bosse conséquente qui déforme son pantalon. Il râle de bonheur et j’en suis surprise. Ses doigts quant à eux, ceux qui me câlinent la chatte sont d’une activité débordante. Je ne sais pas si c’est juste une impression, mais il me semble que je suis trempée et que je coule dans sa main. Maintenant, il a ouvert sa braguette et la bête est sortie de son antre. Elle est dans ma menotte, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts. Petite main ou objet trop gros ? Comment le savoir ?
Il arrête ses mouvements et sans un mot me prend par la main, invitation soudaine à sortir du véhicule. Nous avons à peine fait trois pas qu’une lumière s’allume. Je n’avais même pas remarqué que nous étions devant un minuscule chalet de bois.
— Mon petit chez moi, me susurre-t-il à ...