1. Douce ivresse


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, fplusag, oncletante, Oral pénétratio, tante, Auteur: Sylvie 2, Source: Revebebe

    ... promettre de se laisser faire. Puis ensuite, je lui fis promettre de n’en jamais parler à personne.
    
    Il n’y avait à présent plus aucune ambiguïté puisque mes lèvres se posaient sur son sexe. Jamais je n’avais été aussi excitée en donnant du plaisir. Je n’aimais pas trop ce genre de rapport lorsque j’étais plus jeune, mais le vin et la tendresse que j’avais pour lui faisaient leur effet. Je m’amusai avec son sexe, alternant les baisers et les paroles. Je lui dis que j’avais envie de le prendre dans ma bouche, mais qu’il fallait qu’il me promette de ne pas jouir.
    
    Je lui offris donc ma bouche, mais avec beaucoup de précautions tant je le sentais excité. Pour lui laisser le temps de reprendre un peu son contrôle, je me déplaçai pour m’agenouiller entre ses jambes.
    
    À nouveau, je repris mon petit jeu, en lui susurrant des petits mots et en le prenant doucement dans ma bouche. Je lui disais qu’il se serait bien fait sucer, que ça se sentait qu’il en avait besoin, qu’il pourrait revenir pour que je le soulage.
    
    Je sentais que ces petites phrases lui faisaient quasiment autant d’effet que les caresses de ma bouche. Je lui dis même qu’il avait l’air d’aimer les salopes. Je continuais à ...
    ... lui intimer l’ordre de ne pas jouir, et pourtant je faisais tout pour le rendre fou. Je sentais qu’il faisait des efforts désespérés pour se contrôler, aussi, je me montrais de plus en plus avide et précise dans ma fellation, en même temps que je l’aspirais de toutes mes forces, je caressais sa verge dans ma bouche avec ma langue.
    
    Il s’était tellement contenu que son éjaculation fut très forte, très longue, avec de nombreux spasmes.
    
    Je finis par revenir me blottir contre son épaule, je lui fis un bisou très tendre dans le cou, et je lui demandai s’il allait enfin s’endormir. Il finit par se détendre et se laisser aller dans un sommeil profond. Il me fallut à mon tour du temps pour m’endormir, et ce fut bref puisqu’il me réveilla et me pénétra sans trop de ménagement. Mais ce fut délicieux de sentir ce membre vigoureux se montrer si exigeant de son plaisir.
    
    J’ai pris soin, jusqu’à ce qu’il trouve sa compagne, à maintenir des délais assez longs entre ses visites. Cela me permit souvent d’avoir droit à un désir débordant. Sans complexes, j’ai goûté à ce laisser-aller, me moquant de l’image prude que je donnais à mon voisinage ou à mes collègues de travail.
    
    Je ne regrette rien. 
«123»