1. Douce ivresse


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, fplusag, oncletante, Oral pénétratio, tante, Auteur: Sylvie 2, Source: Revebebe

    Cette histoire, qui a tout de même un peu duré, m’est arrivée lors du millénaire dernier.
    
    Je m’étais mise à l’informatique et j’avais tout de même un peu de mal à m’en sortir. Je faisais donc appel régulièrement à mon neveu.
    
    C’était un de ces bidouilleurs qui passent l’essentiel de leur temps derrière leur écran. Pas le genre boutonneux, mais je sentais bien que ses lunettes le complexaient vraiment. Je le trouvais mignon, mais c’était plus un timide qu’un grand séducteur.
    
    Pour ma part, j’essayais bien de m’entretenir, mais ma cinquantaine me rendait les choses difficiles. Je vivais seule, et je m’en accommodais fort bien.
    
    J’avais décidé, pour le remercier, de l’inviter dans un restaurant pas trop loin de chez moi, qui offrait la délicieuse particularité d’accompagner chacun des plats d’un verre de vin de qualité. Je savais bien que ce n’était pas son souci majeur, mais j’aime bien goûter des vins un peu recherchés, et j’avais envie de partager ce goût.
    
    Bien entendu, la conversation n’était pas son fort mais vous connaissez la faculté des femmes pour parler toute seules et je me laissais aller à tchatcher sans retenue avec lui, d’autant que nous avions commencé par un petit blanc en apéritif. J’avais bien aimé cette soirée, toute à mon euphorie, un peu aidée par les quelques verres qui m’enchantaient.
    
    Sur le chemin du retour, je m’étais appuyée sans vergogne sur son bras. Je me sentais bien, et j’avais encore envie de prolonger mon état. Aussi, je lui ...
    ... avais proposé de venir boire une petite liqueur avant de rentrer. Je sentais sa main parfois se poser sur moi, mais je n’imaginais ni ne pensais à mal. Dans l’ascenseur, je m’étais appuyée sur lui, en rigolant doucement de mon état. Il restait un peu sur la défensive, mais il me laissait mener la soirée à ma guise.
    
    Sur le divan, je sortis une petite verveine que j’aimais bien. J’étais toujours à mon euphorie, et je riais régulièrement. J’avais envie de son contact, aussi je n’hésitais pas à me mettre contre lui, jusqu’à appuyer mon dos contre lui. Sans complexe, je m’étais pelotonné dans ses bras, et je savourais mon petit verre en discutant de tout et de rien.
    
    Je ne lui cachais pas que ça me faisait du bien qu’il me câline un peu, mais les quelques fois où je sentis ses mains remonter vers mes seins, je l’arrêtai sans ambiguïté. Je finis par lui proposer de dormir chez moi, et même avec moi, mais en insistant pour qu’il soit clair entre nous qu’il n’était pas question de s’envoyer en l’air. Je sentais bien qu’il avait quelques idées dans la tête, mais j’avais trop envie de dormir dans les bras d’un homme.
    
    Il ne se fit pas trop prier. Aussi, comme je commençais à m’assoupir, je lui proposai d’aller se doucher, puis de se coucher de suite. En temps normal, je me serais inquiétée du voisinage, mais je n’étais pas en état d’être raisonnable.
    
    Après ma douche, j’éteignis vite la lumière et je me mis dans le lit en me pelotonnant contre lui. J’avais plus envie de dormir ...
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