L'oiseau en cage
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
fdomine,
contrainte,
jouet,
jeu,
attache,
Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe
... encombré de mes paquets et même de mon sac à main qu’il ne voulait pas porter au début, d’ailleurs ; c’est vrai que cela ne fait pas très viril… Bien sûr, je me suis amusée à lui faire essayer un pantalon dans un magasin pour hommes. Lorsqu’il était dans la cabine d’essayage, je n’ai eu de cesse d’aller voir le vendeur pour changer d’article et de taille, le laissant seul dans la cabine, terrorisé je le savais, à l’idée qu’un vendeur ou une vendeuse puisse entrer par inadvertance et le voir dans sa culotte rose transparente qui laissait transparaître la petite cage de l’oiseau.
Au déjeuner, j’ai choisi nos deux menus sans qu’il puisse dire un mot : il a mangé sans barguigner les endives que même sa mère n’arrive pas à lui faire avaler. Il faut dire que la description de la terrible punition que je lui promettais s’il ne les avalait pas toutes l’avait fait rougir de peur. Et c’est bien sûr moi qui ai goûté le vin que, naturellement, le serveur présentait à monsieur. Pendant tout ce temps, je ne cessais de palpiter intérieurement en anticipant les ébats qui allaient suivre. La conversation était agréable ; il redevenait lui pendant un temps, et puis j’agitais légèrement la clef au bout de ma chaîne et je m’amusais de le voir perdre le fil de ses pensées.
Au dessert, une fois que nous avons été servis, j’ai tendu ma main sous la table et je lui ai ordonné de me passer le bout du cordonnet, celui qui était attaché à sa petite cage. Entre mon pied botté qui venait lui ...
... titiller le paquet sous la vaste nappe de la table, le cordon que je tirais de façon impromptue, le faisant se raidir sur sa chaise, mon sourire enjôleur et provocant, mes sous-entendus lorsqu’une serveuse s’approchait de notre table, la description de ce que faisait ma main dans mon entrejambe – je m’étais mise à me caresser doucement par-dessus ma jupe – le pauvre chéri ne savait plus à quel saint se vouer, et la teinte de son visage approchait le rouge pivoine. Pour ma part, je me voyais difficilement aller jusqu’au bout, au risque de laisser mon fauteuil en piteux état. N’en pouvant plus, j’ai payé rapidement et nous sommes rentrés, lui toujours derrière portant tous mes paquets.
À peine arrivés à la maison, je l’ai entraîné dans la chambre, l’ai jeté sur le lit, le couchant sur le dos, ai baissé puis jeté ma culotte et je me suis accroupie sur son visage en relevant ma jupe.
— Lèche ! Vas-y, lèche ! Plus fort !
Il étouffait à moitié sans doute, mais je n’en avais cure. Sa langue ne pouvait suivre le rythme qui m’était nécessaire pour calmer le feu que j’avais en moi. Je me trémoussais sur son visage, me frottant sur son nez, son menton ; je devais dégouliner, tant mes muqueuses et sa peau semblaient lubrifiées comme par du gel. J’ai enfin senti la vague qui montait en moi, m’envahissait, m’enlevait ; je crois que les voisins n’ont pas pu ne pas entendre et ont dû se demander ce qui se passait…
Épuisée, je me suis laissée tomber sur le côté, alanguie, et j’ai fini ...