Joli papa Prélude 2 et fin. - Histoires de Sexe

Joli papa Prélude 2 et fin.

... mensonge entre nous, tu ne vas pas garder ton apparence actuelle bien longtemps. Après une dizaine de films tu auras pris 10 à 15 ans, même si on les tourne au rythme de 5 par an. Après une vingtaine, tu auras tellement changé que même ta mère si elle était encore des nôtres n'aurait pas voulu te reconnaître et se serait détournée de toi avec dégout. Si on arrive à en faire quelques uns de plus, tu seras devenue un monstre repoussant à peine humain, pire que le pire zombie des séries Z.

-- Je sais déjà que tes seins traineront par terre, même quand tu pourras te tenir droite. Tu n'auras plus de dents je te les aurais fait arracher. Tu n'auras plus l'usage de la parole, plus de cordes vocales. Tes yeux ne verront quasiment plus rien, rendus opaques petit, à petit, à cause de tout ce qu'ils vont subir. Tu seras complètement chauve et couvertes de graffitis obscènes tatoués, gravés au couteau ou au fer rouge sur tout le corps. Tout ton corps ne sera plus qu'une grosse cicatrice et une plaie ambulante. C'est l'avenir qui t'attend avec moi. La seule contrepartie que je t'offres, si tu vas jusque là, c'est que je serais toujours auprès de toi et que je continuerais à te pousser vers l'abîme.

-- Je ne plaisante pas, tu as bien compris. Je n'ai pas tout prévu et ce n'est pas pour tout de suite, mais dès que je serais lancé, je ne m'arrêterais plus et toi, tu ne pourras plus rien y faire ni même t'en échapper et très, très vite ce sera trop tard.

-- Tu reste, tu trembles mais ...

... tu reste. c'est bien, ton destin est scellé.

-- Tu veux ajouter quelque chose?

Elle a levé les yeux vers moi, ils resplendissaient de bonheur, elle a dit tout simplement :

-- Je tremble, mais c'est d'excitation. Tu exhausses mes rêvés les plus fous. Personne jamais, n'a aimé ou n'aimera quelqu'un comme je t'aimes.

Elle a baissé les yeux et n'a plus rien dit.

-- Vas passer quelque chose et fais la bouffe pendant que je prépare ce qu'il faut dans la grange pour m'occuper de ton cul avant ce soir. Viens me chercher quand ce sera prêt.

***

J'ai été tenté tenté de vous conter la suite en une dizaine d'épisodes mais je ne vais pas gâcher votre temps qui est précieux. De plus, je vous aurais lassé au récit répétitif des abus que la salope a enduré et auxquels elle a encore droit parfois.

Vous savez tout ou quasiment.

Fin d'après midi, j'ai pris son cul. Il avait été un peu préparé par la séance du matin et j'ai pris la précaution de lui injecter avec la pompe à graisse du tracteur, une bonne giclée de graisse à traire fondue. Elle a gueulé comme une truie et n'a pas voulu aller jusqu'au bout, elle m'a résisté. La connasse avait pourtant promis. J'ai du le lui rappeler avec l'aiguillon que j'ai évoqué au début de ce récit. L'aiguillon électrique pour le bétail de mon grand père. Je me souviens de lui, avec émotion, quand il me disait qu'il l'avait acheté, mais qu'il ne s'en était servi qu'une fois parce que c'était trop cruel pour les bêtes. Je suis un peu ...