1. Joli papa Prélude 2 et fin.


    Datte: 17/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byBforbeMformyCforcunt, Source: Literotica

    par BforbeMformyCforcunt
    
    Chapitre 3 - Fin
    
    Joli papa 3ème épisode Prélude II et fin.
    
    By BforbeMformyCforcunt©
    
    Bande de saligauds, vous pensez que je ne sais pas que vous crevez d'envie de savoir ce qui lui est arrivé à l'autre conne.
    
    Accrochez vus, vos allez être servis.
    
    ***
    
    Le lendemain
    
    J'en ai écrasé comme un brute. je me suis réveillé, l'après midi était bien entamé.
    
    Plusieurs pensées m'ont traversé l'esprit en un éclair. Il est tard, j'ai faim, je bande et j'ai envie de pisser, je n'ai pas la gueule de bois et c'est bizarre. Ce qui venait d'arriver ne m'est revenu en mémoire que quand j'ai mis les pieds hors du lit pour me lever. J'ai posé le pied sur un truc mou qui a gémi. J'ai pensé à un clebs, mais j'ai vu la forme blanche lovée sur le tapis et tout m'est revenu d'un coup.
    
    J'ai poussé une série de jurons et j'ai bousculé gentiment la feignasse du talon. Elle ne s'est pas réveillée immédiatement, elle a roulé sur le dos d'abord.
    
    Elle avait un visage radieux, malgré les pommettes enflées, les coquarts et et les lèvres fendues. Elle souriait dans son sommeil. C'est peut être difficile à concevoir et plus encore à imaginer, mais sa gueule passablement défigurée exprimait la plénitude et la sérénité.
    
    Le reste de son corps n'était pas particulièrement joli à voir, mais j'ai aimé ce que j'ai vu et je l'ai trouvée plus belle que jamais. Elle suçait son pouce et son autre main était plongée entre ses cuisses serrées. Elle était marquée de ...
    ... partout, mais rien de bien méchant qui ne puisse s'estomper si je n'avais pas la main trop lourde. Elle arborait de jolis bleus sur les cuisses, les flans et les seins. J'entrevoyais seulement les jolies zébrures rouges, légèrement violacées, laissées par mon ceinturon sur sa peau pale. Son cul et son dos échappaient à mon regard, mais je n'ai pas eu la force morale de la savater, pour qu'elle roule sur elle même.
    
    Elle était crade, maculée de trainées jaunâtres laissées par la saleté que la pisse, où elle s'était vautrée comme une truie, avait collé. Les rigoles de foutre sanguinolent qui avaient suinté de sa moule rose et enflée aux poils agglutinés en touffes, étaient sèches et formaient des croutes peu ragoutantes.
    
    J'étais presque sans voix devant le spectacle obscène qu'elle offrait, mélange de candeur pure et de perversité malsaine
    
    ***
    
    Elle a entrouvert un œil, le seul qui ait bien voulu. C'est d'une voix rendue rauque par l'émotion et non par la méchanceté, que je lui ai dit de dégager du tapis que je ne voulais pas saloper, pour que je puisse pisser un coup.
    
    Surprise par ce rappel à son nouveau statut social, auquel un sommeil bien mérité et peut être quelque rêve agréable ne l'avait pas préparée, elle a laissé échapper une larme de son œil valide qui exprimait toute la tristesse du monde. Sans un mot, elle a changé de place, à quatre pattes, pour se mettre sur les genoux cuisses bien écartées, mains le long du corps, bouche craquelée grand ouverte et nuque ...
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