1. Tri sélectif (1)


    Datte: 16/01/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... fraicheur du matin. Je frissonne, tandis que le léger vêtement tombe à mes pieds. Je suis à la fois heureux et craintif sans pouvoir déterminer le sentiment qui domine lorsque le reste de ma tenue s’envole par-dessus ma tête. Mon indécence est maintenant complète si l’on y ajoute la douloureuse raideur de mon sexe. Je reste là, totalement nu, sidéré et incapable du moindre mouvement, mi angoissé et mi désireux d’être ainsi dévoilé.
    
    En entendant quelques bruits de voix à proximité Virginie, ma jolie voisine, me pousse brutalement dans la pénombre de son logis, chancelant, les pieds entravés. Je me dégage de ceux-ci dès que la pression retombe. Je vois alors ma compagne du moment, à quelques mètres de moi, soulever lentement sa tunique et donner progressivement à voir son ventre plat, ses adorables petits seins à peine cernés de minuscules aréoles , ses épaules droites. Puis elle déboucle, tranquillement sa ceinture, fait sauter les boutons de sa braguette et glisser son jean au sol. L’apparition de sa large culotte « Petit bateau » me fait sourire. Elle rougit et la baisse brutalement. Elle dévoile une toison triangulaire étonnamment très brune et bien entretenue. Le poil coupé court permet de deviner des grandes lèvres discrètes et jolies. Lorsqu’elle enjambe le tas de vêtements pour se rapprocher, mon sexe rigide et tendu trahit mon intense excitation. L’absence de rideaux me laisse entrevoir l’animation de la cour. Des voisins passent dans la lumière sans un regard vers ...
    ... notre ombreuse indécence. Je cache mon enthousiasme sexuel, comme je peux, jusqu’à ce qu’elle vienne se coller à moi.
    
    Délicieux moment de fusion entre la chaleur de mon corps et la fraicheur de sa peau. Ses mains, presque timidement positionnées entre mes omoplates et au creux de mes reins, serrent mon corps contre elle. Les miennes caressent son dos musclé puis descendent vers ses fesses rebondies. Je sens ses tétons durcis, collés à ma poitrine, entrer dans ma chair. Nos bouches s’unissent, s’entrouvrent puis se dévorent. Nos langues se cherchent puis luttent dans un flot de salive. Chacune veut envahir la bouche de l’autre avec une voracité peu commune tandis que les deux corps ondulent l’un contre l’autre. J’enlace son cul fascinant et commence à le masser en écartant ses fesses. Ses mains descendent sur le mien pour répliquer la caresse. Nos bouches restent unies, nos poitrines et nos sexes ondulent les uns contre les autres en une valse endiablée. J’entre un doigt entre ses fesses dans sa rosette et suis pénétré à l’identique. Nos corps s’affolent. Nos bouches sont unies dans un flot de salive incontrôlable.
    
    Virginie nous sépare en un geste gracieux, se retourne, appuie ses mains sur le dossier du canapé et m’offre son intimité. Je rentre en elle en levrette, elle est délicieusement trempée. Je m’agite entre ses jambes largement ouvertes alors que mes mains serrent sa taille et empêchent son bassin de bouger. Sa tête s’est redressée comme pour prendre de l’air. Je ...