1. Tri sélectif (1)


    Datte: 16/01/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Emil, Source: Xstory

    C’est un beau matin de printemps. Lorsque j’ouvre les yeux la maison est calme et presque aucun bruit ne perce à travers les volets. Je repousse la couette sur mon corps nu et me lève doucement l’esprit encore occupé par quelque rêve anxieux dont je suis coutumier. Je reste, quelques minutes assis au bord du lit et, dès que le calme commence à revenir dans ma tête, j’ouvre tranquillement volets et fenêtres. J’aime ce moment où je m’exhibe à la nature environnante, totalement dénudé et à demi inquiet de croiser quelque regard importun. Je descends tranquillement l’escalier et continue à tout ouvrir imaginant malgré tout être aperçu par quelque voisin curieux. Dans la cuisine, le casier à bouteilles attend, bien en évidence, d’être vidé. Encore mal réveillé, je diffère mon déjeuner et enfile un short trop grand et un T-shirt qui traînent là. Me voilà parti dans le fracas des cris d’oiseaux et le bruissement lointain de la rue. Je sens l’air du matin s’engouffrer entre le coton du large short et ma peau.
    
    Dans la cour, une jolie voisine longiligne au cheveu presque blanc, sort de chez elle pour s’installer en terrasse devant un bol de café fumant. Je la trouve magnifique ce matin et contemple sans retenue son visage régulier, sa poitrine à peine ornée de discrets tétons qui pointent sous le coton de sa tunique façon marcel, ses hanches étroites gainées dans un vieux jean, son ventre plat et ses fesses élégamment galbées. Elle sourit de me voir ainsi la déshabiller du regard ...
    ... et je crois avoir vu ses reins se creuser et la pointe de ses seins se projeter encore plus en avant. Lorsqu’elle me propose de partager son breuvage, je lâche le casier au sol et m’approche. Contraint par l’abondant mobilier sur l’étroite terrasse, mon torse l’effleure au passage et vois ses joues se colorer. Elle se saisit de la cafetière et me sert une tasse de l’odorant breuvage. Je m’assois en face d’elle et nous devisons gaiement en buvant la noire liqueur. Je la surprends à détailler elle aussi ma plastique. J’ai du mal à soutenir son regard et l’émotion nous gagne peu à peu. Lorsqu’enfin nous nous levons, l’étroitesse du lieu nous rapproche à nouveau. Je bouge et mon corps commence à effleurer le sien au passage.
    
    Sa main fine m’arrête en se positionnant sur ma cuisse nue. Je me fige quand, sans crier gare, elle remonte dans la jambe de mon short en une lancinante caresse. Elle vient buter sur mon sexe qui commence à durcir pendant que je cherche à calmer mon émotion et les palpitations qui vont avec. Elle va alors longuement caresser mon entrejambes, enrober mes bourses, alors qu’elle se penche et que ses mamelons minuscules viennent plaquer leurs bouts durcis sur ma poitrine. Son autre main s’accroche à mon épaule puis se laisse glisser de mon dos vers mes fesses. Au passage elle en arrache la frêle parure et exhibe mon bas-ventre et mon séant au voisinage et à la rue, heureusement tous deux dépourvus de badauds. Je ressens mon audacieuse semi-nudité exposée à la ...
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