1. Kate ou la tentation du hérisson... (1)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Russel Price, Source: Xstory

    ... forces et nos faiblesses. Il parle le premier en riant :
    
    — Wouh...sacrée baise ma belle...
    
    Je prends cela pour un compliment.
    
    — Oui...
    
    Il bande encore fortement. Moi aussi.
    
    Il me tend la main.
    
    — Vient que l’on se finisse...
    
    Je crains le piège. Mais son regard semble cette fois en accord avec ses paroles. Alors je me redresse et rampe jusqu’à lui. Il est assis contre la porte. Il glisse de la porte, s’allonge et tient sa queue droite. Je me place près de lui. Me retourne. Passe sur lui et approche mon trou de sa hampe. Ouverte comme je le suis, il n’a aucun mal à me reprendre. Je glisse sur sa queue. En crabe. En appui sur les talons et mes bras. Je suis épuisée et cette position n’est pas facile à tenir. Je me pose sur ses couilles. Doucement. Il gémit. Sa main vient trouver ma queue et il commence à me branler. Je relève mes fesses et glisse sur sa queue. Doucement. Sa main m’astique au même rythme. Je le baise docilement. Mais très vite les forces m’abandonnent. Je ne parviens plus à me hisser sur sa hampe. Mes cuisses ne répondent plus. Assise sur lui. Fichée. Je ne peux plus me soulever. Sa main continue de me ...
    ... branler bien que je ne bouge plus. Je sens l’éjaculation arriver. La boule glisse de mon ventre, dévale ma hampe et explose.
    
    Je me vide dans des spasmes rapides et dans un grognement... je suis à bout. Lui non. Sa queue est raide dans mes reins. Mais je ne peux plus. Je le lui dis.
    
    Alors il me bascule sur le flanc. Se positionne derrière moi. M’empale une nouvelle fois et cette fois avec attention, se met à me besogner. Je ne bouge plus. Incapable. C’est lui qui me soulève la jambe et la tient relevée. Il me baise régulièrement, sans violence. Presque avec attention. Je sens son souffle dans mon dos. Puissant, mais docile. Je ne puis que subir sa virilité. Et après quelques minutes, il se tend une dernière fois et libère sa semence dans le préservatif au fond de moi...il grogne. Éructe aussi. Se raidit. S’abandonne en moi.
    
    Je l’entends s’écrouler derrière moi.
    
    Je ne sais combien de temps nous sommes restés ainsi emboités et allongés à même le sol. Complètement exténuée, je me suis relevée. J’ai titubé jusqu’à la salle de bain. Cette fois sans surprise. J’ai pris mes affaires. Ai glissée dans la nuit. Je ne connais pas son prénom. 
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