1. Kate ou la tentation du hérisson... (1)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Russel Price, Source: Xstory

    ... Ce con ne m’avait pas menti.
    
    — T’es vraiment un sac à foutre toi !
    
    Cette fois, je lui réponds. Consciente que cela ne sert à rien, mais fière de lui montrer que je contrôle un tant soit peu les choses...
    
    — Ben on dirait que le sac à foutre te fait bien bander non ?
    
    — Vais te finir sale pute !
    
    Alors fièrement je lui tends ma croupe douloureuse. Lui se place derrière moi et une nouvelle fois s’enfonce dans mes reins.
    
    Mon cul est ouvert. Il n’a aucun mal à le pilonner à demi assis, accroupi sur moi. Il me baise sans pause. Sans attention. Je ne résiste pas. M’abandonne à son rythme. Je n’entends plus les torrents d’insultes qu’il me déverse. Je ne sens plus que la douleur de la pénétration. Les brûlures qu’il m’inflige en me pénétrant avec rage. Mes bras ne me soutiennent presque plus. J’ai les genoux qui me font mal. Lui me redresse en tirant sur la laisse. M’étrangle. Sa verge me perfore à un rythme forcené. Je perçois son souffle lointain dans un mélange de conscience et d’abrutissement. Et lui continue son travail de sape. Une machine. Il me baise violemment. Comme pour exorciser ses pulsions. Et dans les méandres de mes pensées submergées par la douleur et la fatigue, je garde présent à mon esprit que c’est ma sensualité, ma féminité qui ont permis à ce porc de me baiser ainsi...maigre consolation alors qu’il redouble d’insultes et de pression sur sa hampe. Je vais abandonner. M’écrouler. Le laisser utiliser mon corps.
    
    Ma chair. Mais sans moi. Je me ...
    ... surprends à bander comme un âne. Est-ce cela qui me sauve ? Aujourd’hui encore, je ne saurai le dire avec exactitude. Sans doute.
    
    La sensation de bander à nouveau tandis que ce mâle me couvre sans attention en attendant simplement que je demande grâce, me fait me rebeller. Profitant d’un moment de pause dans ce flot d’insultes, je trouve la force de lui jeter :
    
    — Tu baises bien ta salope, regarde ! tu me fais bander !
    
    Il s’interrompt dans son mouvement de pilonnage. Interloqué peut-être. Sa queue est fichée dans mes reins. Ses couilles contre moi. Maintenant. Après je ne pourrai plus. Alors je rassemble mes dernières forces et dans un mouvement aussi vif que possible, je lance mon bras droit sous moi vers l’arrière en demeurant en appui sur le seul bras gauche. Effort surhumain pour moi dans mon état. Il n’a pas le temps de réagir avant que ma main n’attrape sa paire de couilles. Je l’enserre vivement et applique une pression intense dessus. Il hurle.
    
    — AHHHHHH...put...
    
    Il ne finit pas sa phrase. Hurle de douleur encore comme ma main libère et resserre à nouveau ces bourses. Il tente de reculer. Je le libère. Il recule d’un bond, libère mes reins et va s’écrouler sur le sol un mètre plus loin. Épuisée, je tombe moi-même au sol, le souffle court, meurtri. Nous nous regardons. Les deux blessés. Mais bandant. Il sue à grosses gouttes.
    
    Sa main posée sur ses couilles. Je ne sens plus mon cul. Nos regards se croisent. Nous nous jaugeons mutuellement. Évaluons nos ...
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