1. Une fille poilue


    Datte: 14/01/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... Ça coulait. Je bandais comme un âne et je ne cessais pas de tripoter les nichons de Nelly. Ils étaient assez volumineux et ils pendaient un peu. Et je matais sa chatte pendant ce temps. J’ai toujours aimé les poils. Ne me demandez pas pourquoi. Même si parfois, en léchant des chattes velues, je me suis retrouvé avec un poil sur la langue. Ce n’était pas grave. C’était la nature.
    
    C’est notre nature.
    
    Et j’ai toujours aimé regarder ma queue pénétrer une chatte poilue. Que voulez-vous, je n’y peux rien, c’est encore la nature j’imagine. Ou bien la différence.
    
    La différence entre des femmes qui assument leur nature, et d’autres qui ne l’assument pas. Il y a celles qui supportent ce qu’elles sont, et celles qui font en sorte de se transformer un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. C’est leur problème. Assumer ce qu’on est, ou pas, est un réel problème de nos jours. Allez faire admettre à une femme qui se rase la chatte qu’elle est victime d’une mode, d’un phénomène de société…
    
    Allez-y, accrochez-vous.
    
    Je vous souhaite bonne chance.
    
    C’est une question ...
    ... d’orgueil. N’importe quelle femme qui se rase la chatte saura vous démontrer que c’est un choix personnel, alors qu’elle est soumise à une tendance. Elle ne s’en rend pas compte, et ce n’est pas grave. Chacun son truc, dit-on. Mais ne venez pas me faire croire que toutes ces chattes rasées à blanc sont des choix personnels. Ce sont les fruits d’une époque ultra-soumise à l’hygiénique, et paradoxalement exposés à une multitude d’autres problèmes.
    
    Mais à chacun ses problèmes.
    
    Ce qui comptait pour moi ce soir-là, c’était d’éjaculer dans les poils de Nelly. Trois grosses giclées qu’elle a étalées, mélangées, et même sucées. Je les ai vues jaillir de mon gland, tout en tripotant les nichons de cette nana. Elle était brune à cheveux longs. On s’est longuement enlacés et embrassés sur la bouche, ensuite.
    
    Son corps était brûlant.
    
    On s’est fait un gros câlin avant de s’endormir. J’avais le goût de sa chatte sur le bout de la langue, et elle avait le goût de ma queue au bord de la sienne. J’aimais bien ses aisselles aussi. Et ses tétons moelleux.
    
    C’était tellement naturel.
    
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