1. Une fille poilue


    Datte: 14/01/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce soir-là, dans un bar, je discutais depuis au moins une heure avec cette fille quand elle m’a dit :
    
    « Je ne comprends pas cette mentalité qui consiste à se raser le sexe. Je trouve ça contre-nature. Si la nature nous adonné des poils, c’est parce qu’on en a besoin. Dans mille ou deux mille ans, peut-être qu’on en aura plus, mais pour le moment on en a, alors je ne vois pas pourquoi on les raserait. C’est dans l’air du temps, mais c’est artificiel. »
    
    Elle s’appelait Nelly. Elle avait au moins dix ans de moins que moi. J’avais trente-deux ans. Je ne sais plus comment on s’était retrouvés au comptoir côte à côte, à boire des verres.
    
    Je lui ai répondu que j’étais d’accord.
    
    Nous sommes des êtres humains modernes, déconnectés de la nature, mais en premier lieu déconnectés de notre nature à nous. Nous suivons des modes de façon aveugle, sans aucune réflexion. Nous leur obéissons comme des petits soldats disciplinés.
    
    Pour être plus exact, je lui ai répondu :
    
    « Nous ne réfléchissons pas. Obéir aux modes est rassurant. On ne se sent pas exclus. L’exclusion fait peur. Elle nous isole des autres et du reste du monde. »
    
    « En plus de ça, répondit Nelly, ceux qui se rasent complètement le sexe sont convaincus que ça leur épargne des maladies, mais c’est faux. Le fait de se raser en provoque d’autres. »
    
    Une femme m’avait dit la même chose, un soir à la sortie d’un concert. Je l’avais sautée dans ma voiture, sur le parking. Elle avait une bonne dizaine d’années de ...
    ... plus que moi et elle avait exigé que je mette une capote. Je ne sais plus qu’elle maladie elle avait contractée, à force de se raser la chatte.
    
    J’ai répondu à Nelly :
    
    « Ouais, à force d’hygiène à tout prix, on devient vulnérables à des trucs qu’on n’avait pas prévus. »
    
    Et tout en lui disant cela, j’avais pris conscience d’une chose à peu près certaine : elle avait la chatte poilue.
    
    Je ne me suis pas trompé.
    
    Moins d’une heure plus tard, dans ma chambre, elle baissait sa culotte à la lueur de ma lampe de chevet, tandis que j’étais en train d’ôter mon caleçon. Ensuite, elle dégrafa son soutien-gorge en fixant ma bite du regard. Je bandais à moitié.
    
    Elle m’a dit :
    
    « La semaine dernière, je me suis faite sauter par un mec qui s’épilait intégralement. J’étais stupéfaite. On aurait dit un mannequin en plastique. Il en avait une grosse, mais tout était lisse autour. Il n’a pas compris pourquoi j’ai éclaté de rire en le voyant se mettre tout nu. Je lui ai dit que c’était nerveux et il m’a baisée. »
    
    Sur ces mots, je me suis approché de Nelly et elle a aussitôt pris ma queue avec ses doigts pour me branler. On s’est embrassés avec la langue et j’ai touché sa chatte poilue. Elle ne s’épilait même pas au maillot. Elle était totalement poilue, jusqu’au cul, et ça me faisait bander. De plus, elle bavait en embrassant. Sa chatte était trempée et mon gland était dur comme un abricot pas tout à fait mûr.
    
    Ensuite, elle m’a sucé. Et là encore, elle a bavé. Ça glissait. ...
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